dimanche 28 juillet 2013

Stars› Couples› Barack Obama et Michelle Obama

Barack Obama  Michelle Obama

Barack Obama Michelle Obama
  
Michelle Obama et Barack Obama représentent le couple politique le plus emblématique du moment. Très soudés, les deux amoureux se sont toujours soutenus mutuellement au fil des années. Barack et Michelle se rencontrent en 1988 alors qu’ils travaillaient dans le cabinet d’avocats, à Chicago. Michelle Robinson, qui deviendra Michelle Obama quelques années plus tard, supervise le travail de Barack Obama, qui est à l’époque un stagiaire pendant l’été. La première fois qu’ils se parlent au Téléphone, Michelle Obama est très professionnelle. La jeune femme n’est pas vraiment enthousiaste à l’idée d’accueillir un stagiaire. Mais quand ils se rencontrent pour la première fois dans son bureau, ils se plaisent immédiatement. MaisMichelle Obama veut rester professionnelle et voit en Barack Obama un bon ami, rien de plus.  Finalement quelques semaines plus tard, elle accepte de diner avec Barack Obama. Il l’emmène à l’art Institute de Chicago et l’impressionne grâce à ses connaissances en art. Ils marchent ensemble pendant des heures sur Michigan avenue et Michelle Obama tombe rapidement sous le charme du jeune homme. Michelle Obama et Barack Obama se marient le 3 octobre 1992 et ont leur première fille Malia le 4 juillet 1998. Le 7 juin 2001, ils accueillent une deuxième fille nommée Sasha. En 2008, lors de son premier discours en tant que président des Etats-Unis,Barack Obama remercie sa femme, qui est pour lui sa meilleure amie, un soutien inconditionnel et surtout l’amour de sa vie. Il ne s'en est jamais caché, c'est grâce à Michelle Obama qu'il a été élu président des Etats-Unis, le 4 novembre 2008.
source staragora.com

Un nouveau boss pour Samsung Afrique

 

Un nouveau boss pour Samsung Afrique
juillet 27
Samsung a nommé Sung Yong Hong au poste de Chief Executive Officer (CEO) et président groupe en Afrique. Il quittera ses fonctions de président de Samsung Electronics en Turquie.
Hong remplacera Kwang Kee Park, qui lui se dirige vers Samsung Asie du Sud Est après un séjour de trois ans en Afrique, où il a initié un certain nombre de projets, en particulier sous la responsabilité sociale des entreprises. Hong va utiliser son expérience en Turquie, un autre marché émergent, pour assurer son rôle en Afrique.
Pendant ce temps, le bénéfice d’exploitation de Samsung a bondi de 47,5 pour cent au deuxième trimestre, pour atteindre 8,5 milliards de dollars US. Les revenus ont été dopés par les ventes du Samsung Galaxy S4 qui ont atteint les 10 millions dans le monde entier.
La division mobile, qui représente plus de 60 pour cent des revenus de l’entreprise, a augmenté de 52 pour cent, par rapport à la même période l’an dernier, à 5,6 milliards de dollars, mais ce chiffre a diminué de 3,5 pour cent par rapport au trimestre précédent.
(Source : SenecoPlus et  Afrique ITnews )

LE ROI DES ARENES BALLA GAYE II EN MODE RAMADAN


vendredi 26 juillet 2013

ICANN MEETING IN SOUTH AFRICA - DURBAN47-Khéweul.com of Mouhamet Diop won the award for best African registrar


 In addition to the forty-seventh meeting of ICANN held in South Africa in Durban from 13 to 18 July 2013, ICANN Africa was awarded the Best African registrar to kheweul.com before the four other African registrars.
So Khéweul.com ahead of the South African registrar Diamatrix and honors all actors operating in the ICT sector in Senegal. This is Steve Crocker, Co-Founder Chairman of the Board of Directors of ICANN who presented the award (photo) during the ceremony of the "Awards" in Durban Tuesday, July 16. According Mouhamet Diop, CEO registrar Kheweul.com "This award is the result of perseverance and commitment to the work. It is also the result of the sacrifice and dedication of a professional and united team. I award to all my colleagues who continue to work day and night for the development of our organization and the Internet in Africa. "
Kheweul.com was also among the top five global Registrars to sign the new contract (RAA 2013) with ICANN during the launching ceremony for the sale and promotion of new generic domain names.
Recall that Kheweul.com is the second ICANN accredited registrar in Africa and the first in West Africa to operate on the market of domain names with regard to generic extensions. CEO Mouhamet Diop is a former member of the board of ICANN and well known in the field of information technology and communication. Kheweul.com is based in Senegal, Dakar and operates in the sector since June 18, 2007.
Icann was created in 1998. This is a California law firm based in United States and is the world body in charge of managing the system of domain names and IP addresses. As such, it maintains the security, stability and interoperability of the Internet.
In addition, in the section register domain names manager countries. Za South African register won the Best African register before the Tanzanian registry. Tz.
The next public meeting of ICANN held in Buenos Aires, Argentina, from 17 to 21 November 2013.
Source Icann

REUNION D’ICANN EN AFRIQUE DU SUD – DURBAN47- Khéweul.com de Mouhamet Diop remporte le prix du meilleur registrar africain



En marge de la quarante septième réunion d’Icann qui s’est tenu en Afrique du Sud à Durban du 13 au 18 Juillet 2013, Icann Afrique a décerné le prix du meilleur registrar africain à kheweul.com devant les quatre autres registrars africains .
Ainsi, Khéweul.com devance le registrar sud-africain Diamatrix et honore tous les acteurs évoluant dans le secteur des TICs au Sénégal. C’est Steve Crocker, Co-Fondateur Président du conseil d’administration de l’Icann  qui a remis le prix (photo) lors de la cérémonie des « Awards » à Durban le Mardi 16 Juillet. Selon Mouhamet Diop, PDG du registrar Kheweul.com « ce prix est le fruit de la persévérance et de l’engagement dans le travail. Il est aussi le résultat de l’abnégation et du dévouement d’une équipe professionnelle et solidaire. Je décerne ce prix à tous mes collègues qui ne cessent de travailler jour et nuit pour le développement de notre structure et de l’internet en Afrique ».
Kheweul.com a aussi été parmi les cinq premiers Registrars au niveau mondial à signer le nouveau contrat (RAA 2013) avec l’Icann, lors de la cérémonie de lancement pour la vente et la promotion des nouveaux noms de domaines génériques.
Rappelons que Kheweul.com est le deuxième registrar accrédité ICANN en Afrique et premier en Afrique de l’ouest à opérer sur le marché des noms de domaines pour ce qui concerne les extensions génériques. Le PDG Mouhamet Diop est un ancien membre du conseil d’administration de l’ICANN et bien connu dans le secteur des technologies de l’information et de la communication. Kheweul.com est basé au Sénégal, à Dakar et opère dans le secteur depuis le 18 Juin 2007.
L’Icann a été créé en 1998. C’est une société de droit californien basé au Etats-unis ; il est l’organisme mondial en charge de la gestion du système des noms de domaine et des adresses IP. A ce titre, il assure le maintien de la sécurité, de la stabilité et de l’interopérabilité d’Internet.
En outre, dans la section registre, gestionnaire de noms de domaine pays, .za, registre sud-africain a remporté le prix du meilleur registre africain devant le registre tanzanien .tz.
La prochaine réunion publique de l’ICANN est prévue à Buenos Aires en Argentine du 17 au 21 Novembre 2013.

Source Icann

jeudi 25 juillet 2013

PROFILE-Semou ANNA FAYE An Orthodox at the head of the police



Sémou Anna Faye, the new Director General of the National Police, is presented in the middle of bloodhounds as "Iron Lady, an Orthodox." A friendly woman texts and rigorous in the work. Some of his former police colleagues hold her "a stern woman, too clean, that does not hang pots."
Born April 14, 1958, married with two children, Anna Sémou Faye has held several senior positions in the Police. She served the Office of Dieupeul, Port, Airport, Bel Air, in the Passport and the Directorate of Criminal Investigation (DIC) at the head of the Directorate of Judicial Police. Wherever she went, she has left its mark.
When she arrived at the Dic, this police department was in a state of disrepair very advance. But she knew through her ​​sense of organization and labor, rehabilitated premises Dic. His transition to the Dic was also marked by better management of the granting of certificates for cars. In place of anarchy and skulduggery surrounding the issuance of these certificates, it was able to order.
At the direction of the passport, she had managed to clean up the industry in the production of passports. With greater transparency in management. She holds a Masters in Law degree in management of urban security and crisis. Prior to his appointment as head of the national police, she was coordinator of the Interministerial Committee for the Fight against drugs.
His appointment as head of the national police is a first in the history of the Senegalese police. Where for the first time, a woman presides over the destinies of bloodhounds.
  Harouna FALL
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PROFIL-ANNA SEMOU FAYE-Une orthodoxe à la tête de la police



Anna Sémou Faye, la nouvelle directrice générale de la police nationale, est présentée dans le milieu des limiers comme «une dame de fer, une orthodoxe». Une femme respectueuse des textes et très rigoureuse dans le travail. Certains de ses anciens collègues policiers retiennent d’elle « une femme sévère, trop clean, qui ne traine pas de casseroles ».
Née le 14 Avril 1958, mariée et mère de deux enfants, Anna Sémou Faye a occupé plusieurs postes de responsabilités dans la Police. Elle a servi au Commissariat de Dieupeul, du Port, de l’Aéroport, de Bel Air, à la Direction des passeports et à la Direction des investigations criminelles (Dic) à la tête de la Direction de la Police judiciaire. Partout où elle est passée, elle y a laissé ses empreintes.
Quand elle arrivait à la Dic, ce service de police était dans un état de délabrement très avance. Mais elle a su grâce à son sens de l’organisation et du travail, réhabilité les locaux de la Dic. Son passage à la Dic a été marqué aussi par une meilleure gestion de l’octroi des attestations pour les voitures. En lieu et place de l’anarchie et de la magouille qui entouraient la délivrance de ces attestations, elle a su mettre de l’ordre.
A la direction des passeports, elle avait réussi à assainir le secteur dans la confection des passeports. Avec une plus grande transparence dans la gestion. Elle est titulaire d’une maîtrise en Droit, diplômée en gestion de la sécurité urbaine et de crise. Avant sa nomination à la tête de la police nationale, elle était coordonnatrice du comité interministériel de lutte contre la drogue. 
Sa nomination à la tête de la police nationale est une première dans l’histoire de la police sénégalaise. Où pour la première fois, une dame préside aux destinées des limiers.

 Harouna FALL

CASE DRUG TRAFFICKING IN THE POLICE: Macky Sall Abdoulaye Niang sacked and replaced by Anna Faye Sémou


The Director General of the National Police Commissioner Abdoulaye Niang, was sacked on Thursday after the Council of Ministers by the President of the Republic. He was replaced by Anna Faye Sémou, Divisional Commissioner of exceptional class, previously coordinator of the Interministerial Committee for the fight against drugs. Niang had been cited in the case of drug trafficking in the Police. A scandal that shook a few days Senegal. President Macky Sall who yesterday received the report of the Inspectorate Division of the security services (Diss), was expected on this burning issue. Ultimately the decision comes down to. The DG of the National Police Abdoulaye Niang was relieved of his duties.
Harouna FALL

AFFAIRE TRAFIC DE DROGUE DANS LA POLICE: Macky Sall limoge Abdoulaye Niang et le remplace par Anna Sémou Faye




Le Directeur général de la Police nationale, le Commissaire Abdoulaye Niang, a été limogé ce jeudi à l’issue du Conseil des ministres par le président de la République.  Il a été remplacé par Mme Anna Sémou Faye, Commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle, précédemment coordonnatrice du comité interministériel de lutte contre la drogue.  M. Niang avait été cité dans l’affaire du trafic de drogue dans la Police. Un scandale qui secoue depuis quelques jours le Sénégal. Le président Macky Sall qui a reçu hier le rapport de la Division d'Inspection des services de sécurité (Diss), était  attendu sur ce dossier brulant. Finalement la décision vient de tomber. Le Dg de la Police nationale Abdoulaye Niang a été relevé de ses fonctions.  

Harouna FALL

Following the death of Digger South Golf:The Ibrahima Dia imam arrested by police on Thursday



Following the death of Digger Mohamed Gueye Thursday morning, the imam of the mosque Ibrahima Dia South Golf was arrested by the police. Mohamed Gueye working on behalf of the mosque. According Rfm giving information, Dia Imam appealed to the service of the deceased digger, fifty years for the construction of a well. Unfortunately, Mohamed Gueye died on Thursday morning after 19 hours of suffering. Firefighters from the rescue could not save him. According to Imam Massamba Diop, the victim will eventually be buried in the well of 20 meters, that after receiving authorization from the competent authorities.

Suite à la mort du puisatier de Golf Sud: L’imam Ibrahima Dia interpellé par la police ce jeudi





  Suite au décès du puisatier Mohamed Guèye ce jeudi matin, l’imam Ibrahima Dia de la mosquée de Golf Sud a été interpellé par la police. Mohamed Guèye travaillait pour le compte de la mosquée. Selon la Rfm qui donne l’information, Imam Dia avait fait appel au service du défunt puisatier, âgé de cinquante ans pour la construction d’un puits. Malheureusement, Mohamed Guèye est décédé, ce jeudi matin, après 19 heures de souffrance. Les sapeurs-pompiers venus le secourir n’ont pu le sauver. D’après Imam Massamba Diop, la victime sera finalement enterrée dans ce puits de 20 mètres, cela après avoir reçu l’autorisation des autorités compétentes.  

mercredi 24 juillet 2013

PR MOUSTAPHA SAMB VICE PRESIDENT "Yonou YOKOUTE" "The Coalition 2012 Macky not want history to repeat itself"


The Alliance "Yonou Yokouté" the dissident wing of the Coalition 2012 Macky told GFM Wednesday that it is to prevent history repeating itself, as the coordinator of the Coalition Ibrahima Sall demanded a reshuffle and 27% of the portfolio in the next government.

GFM-i (Dakar) "The Coalition 2012 Macky did not want history to repeat itself, this is what drives this output Ibrahima Sall (Editor's note: Coordinator of the Coalition Macky 2012," and responded to GFM, Moustapha Samb, vice president of the Alliance "Yonou Yokouté." says Samb is the Coalition Macky 2012, which supported President Macky Sall in the first round. But in the first government of Macky Sall the Coalition 2012 Macky was left stranded.

Given the fact that this coalition (note: Macky 2012) was 27% in the first round of the presidential election of 2012, Ibrahima Sall, wanted, according to Mr. Samb, require that score in the next government. Although this position seems to share the boss of the Coalition Macky 2012 Moustapha Samb believes that the last word to the President of the Republic, Macky Sall. Which, taking into account the skills of each other. That is why, he said, the Coalition 2012 Macky must understand that there is not only the government, there are directions for companies and other entities in which the president may appoint some of that coalition allies.

Before continuing the coalition "Benno Bokk Yakaar" (BBY) which had supported Sall in the second round, won the bid in the first government of Macky Sall and the National Assembly. This is normal, says Moustapha Samb, the Coalition Macky 2012 go on the offensive to that history does not repeat itself.
Harouna FALL

PR MOUSTAPHA SAMB VICE PRESIDENT DE « YONOU YOKOUTE » «La Coalition Macky 2012 ne veut que l’histoire se répète»




L’Alliance « Yonou Yokouté », l’aile dissidente de la Coalition Macky 2012 a déclaré à GFM ce mercredi que c’est pour éviter que l’histoire ne se répète, que le coordonnateur de la Coalition Ibrahima Sall a exigé un remaniement ministériel et 27% de portefeuille dans le prochain gouvernement.

i GFM- (Dakar) « La Coalition Macky 2012 n’a pas voulu que l’histoire se répète, c’est ce qui motive cette sortie d’Ibrahima Sall (Ndlr : coordonnateur de la Coalition Macky 2012 », ainsi a réagi à GFM, Moustapha Samb, le vice-président de l’Alliance « Yonou Yokouté ». Selon M. Samb, c’est la Coalition Macky 2012, qui a soutenu le président Macky Sall au premier tour. Mais dans le premier gouvernement de Macky Sall, la Coalition Macky 2012 était laissée en rade.

Compte tenu du fait que cette coalition (Ndlr : Macky 2012) avait 27% au premier tour de l’élection présidentielle de 2012, Ibrahima Sall, a voulu, d’après M. Samb, exiger ce score dans le prochain gouvernement. Même s’il semble partager cette position du patron de la Coalition Macky 2012, Moustapha Samb estime que le dernier mot revient au président de la République, Macky Sall. Qui, en tenant compte des compétences des uns et des autres. C’est pourquoi, dit-il, la Coalition Macky 2012 doit comprendre qu’il n’y a pas que le gouvernement, il existe des directions de sociétés et autres entités où le président peut nommer certains alliés de ladite coalition.

Avant de poursuivre que la coalition « Benno Bokk Yakaar » (BBY) qui avait soutenu Macky Sall au second tour, a raflé la mise dans le premier gouvernement de Macky Sall et à l’Assemblée nationale. C’est normal, soutient Moustapha Samb, que la Coalition Macky 2012 aille à l’offensive pour que l’histoire ne se répète pas.
Harouna FALL


To avoid negative sanctions against the regime in the short term Coalition Macky 2012 requires a cabinet reshuffle and 27% representation in government



The conference leaders Macky 2012 coalition met yesterday to analyze national politics. In the statement sanctioning the meeting, the Conference of the leaders of the Coalition Macky 2012 requires a cabinet reshuffle and 27% of portfolios in the government.

IGFM-(Dakar) A cabinet reshuffle is required by Macky Coalition in 2012, led by Ibrahima Sall. A query that can be explained by the finding of a change in public opinion against the regime. And to avoid negative sanctions in the short term, the coalition "Macky 2012" requires the President to establish a more efficient government and the fact of "Yoonu yokute" program, for which he was elected to meet expectations of the people increasingly impatient. Accordingly Macky 2012 reiterates the requirement of 27% representation in the next government hitch and recalls that this is not a cake but sharing a shared responsibility. The result is a need to consult the coalition in choosing their representatives in government. Examining the point linked to drug scandal splashed our national police force, the coalition urged the Head of State to remain in the firm line so that all light be shed on this matter. Finally returning to the tense social situation, the conference leaders encouraged the President of the Republic in its efforts to accelerate the measures taken to solve the problems in the purchasing power of the population, the high cost of food, power cuts, strikes recurring floods that point on the horizon. To stem the devastating effects of road accidents, the coalition proposes the establishment of permit-to-point, increased verification of the technical inspection and mandatory helmet.
Harouna Fall

Pour éviter une sanction négative contre le régime à court terme La Coalition Macky 2012 exige un remaniement ministériel et 27% de représentation dans le gouvernement.





La conférence des leaders de la coalition Macky 2012 s’est réunie hier pour analyser l'actualité politique nationale. Dans le communiqué qui sanctionne la rencontre, la Conférence des leaders de la Coalition Macky 2012 exige un remaniement ministériel et 27% des portefeuilles dans le gouvernement.
iGfm- (Dakar) Un remaniement ministériel, c’est qu’exige la Coalition Macky 2012, dirigée par Ibrahima Sall. Une requête qui s’explique par le constat fait d’un retournement de l'opinion contre le régime. Et afin d'éviter une sanction négative à court terme, la coalition « Macky 2012 » demande au Président de mettre en place un gouvernement plus performant et au fait du programme « Yoonu yokute », programme pour lequel il a été élu afin de répondre aux attentes des populations de plus en plus impatientes. En conséquence Macky 2012 réitère l'exigence de 27% de représentation dans le prochain attelage gouvernemental et rappelle que ce n'est pas un partage de gâteau mais un partage de responsabilité. Il en résulte une nécessaire consultation de la coalition dans le choix de ses représentants au gouvernement. Examinant le point lié au scandale de la drogue qui a éclaboussé notre police nationale, la coalition exhorte le chef de l'Etat à demeurer dans sa ligne de fermeté afin que toute la lumière soit faite sur cette affaire. Enfin revenant sur la situation sociale tendue, la conférence des leaders encourage le President de la République dans ses efforts d'accélération des mesures prises pour résoudre les problématiques du pouvoir d'achat des populations, de la cherté des denrées, des délestages, des grèves récurrentes et des inondations qui pointent a l'horizon. Pour endiguer les effets dévastateurs des accidents de la route, la coalition propose la mise en place du permis à point, la vérification accrue de la visite technique et du port obligatoire du casque.

Harouna Fall                                                                                                                                                          

vendredi 19 juillet 2013

VETUSTE DES INFRASTRUCTURES, MANQUE D’EQUIPEMENTS ET DE MOYENS : La recherche scientifique se cherche






La recherche scientifique et technique au Sénégal est confrontée à des difficultés qui ont comme noms : vétusté des infrastructures, manque d’équipements et de moyens. Un constat fait sur le terrain le week-end dernier lors d’une visite à l’intention du réseau des journalistes scientifiques et techniques dans les centres et instituts de recherches à Bambey et Thiès.

Le Réseau des journalistes scientifiques et techniques (Rejost) en partenariat avec le Fonds national de recherches agricoles et agro-alimentaires (Fnraa) et le centre système national de recherches agro-sylvo-pastorales (Snrasp) ont organisé samedi dernier une visite dans les centres de recherche de Dakar, Thiès et Bambey. Ce voyage au cœur des centres de formation et de recherches a permis de constater de visu le travail que les chercheurs abattent pour améliorer les conditions de vie et d’existence des populations malgré les problèmes auxquels ces centres sont confrontés et leurs conditions de travail parfois difficiles. Les problèmes, il n’en manque pas à l’Isfar de Bambey/ D’ailleurs le directeur de cet institut de recherche, Mohamed Camara, ne s’en cache pas : « On a besoin des moyens. Les infrastructures sont vieilles, il faut les renouveler. On a un problème de laboratoire. Cela peut avoir des incidences sur la qualité de la formation, une école de formation a besoin d’applications sur le terrain en laboratoire ». L’absence de laboratoire, poursuit-il, « est un handicap pour nous. Cela plombe l’engouement, l’enthousiasme qui devrait accompagner la recherche ». Pour autant, il ne baisse pas les bras : « On est en train de chercher à mettre sur pied ces laboratoires. Il y a aussi le partenariat qui nous aide à dérouler cet enseignement pratique ailleurs». Au niveau de la Pépinière forestière de l’Isfar de Bambey, les étudiants et leurs professeurs se débrouillent comme ils peuvent. « On n’a pas reçu d’appui. C’est une initiative personnelle d’avoir cette pépinière il y a de cela deux ans. Parce qu’on ne peut pas concevoir une formation d’ingénieur en foresterie dans le domaine des eaux et forêts sans une pépinière. Ce qui est inconcevable » dénonce ce professeur trouvé sur place. C’est presque le même constat à l’Ensa de Thiès où les laboratoires sont vides et le matériel vétuste. Commentant cette visite guidée, Moussa Fall le permanent du cadre de concertation a laissé entendre que cela a permis de montrer les points faibles du monde de la recherche, qui se résument au manque de moyens et un environnement qui ne favorise pas la recherche. Malgré ces difficultés, il existe, selon M. Fall, « des chercheurs déterminés qui travaillent avec compétence et qui ont des objectifs bien précis qui sont le développement de l’agriculture du Sénégal ».
HAROUNA FALL


vendredi 12 juillet 2013

2012 Report of the Intergovernmental ACTION GROUP AGAINST MONEY LAUNDERING IN WEST AFRICA


Senegal ... The best student of the ECOWAS

The GIABA conducted yesterday under the chairmanship of the Director General Abdullahi Shehu presentation of its 2012 annual report at the fourth annual briefing for the ECOWAS Ambassadors and development partners. A report that ranks the best student of Senegal ECOWAS countries in the fight against money laundering and terrorist financing in 2012 as opposed to 2011.


Senegal best student. Senegal, best student of ECOWAS countries in the fight against money laundering and the fight against terrorist financing. This does not happen every year. Accustomed bad students in the field and in the respect of human rights, Senegal since the advent of the second vibration, seems to fit in a good momentum. Even if the CEO GIABA did not want to try the game ranking ECOWAS countries in this report, a careful analysis of data contained in the report clearly shows that the various assessments that countries were submitted Senegal is out of the lot. Of the 15 ECOWAS countries evaluated, Senegal had the best evaluation. He earned the highest score line with 6 points against 3 for the immediate next of Guinea. Senegal has also received the highest score for the largely consistent recommendation (Lc) with 13 points against 9 for the immediate following the Gambia. Regarding poor grades (improper recommendations) the Senegal took the floor 12 while his immediate following, Nigeria is 18 points. Also on the 16 key recommendations and key, only Senegal has fewer than 9 partially compliant and noncompliant, putting the head in Senegal compared to ECOWAS countries. "Other honorable result Senegal, always after this report, it is the first francophone countries of West Africa to join the global network of the most successful intelligence units in 2009 (the Egmont group), followed by Côte d'Ivoire in 2010. The Senegal sponsored Cameroon who was admitted in 2010, Mali in 2011, also the Burkina and Togo which have been admitted last week "says an inside source at GIABA. This means that today, Senegal is one of the few countries where judicial decisions were made and sentences imposed on perpetrators. Indeed, according to the report in 2012, from January to June 2012, the FIU / Crf received 58 suspicious statements (Dos) against 92 cases in 2011 and 84 in 2010, according to the report 2011de FIU (National Processing Unit of financial information). This shows the great step forward in Senegal since the advent of President Macky Sall to power. The FIU has, in 2012, sent four reports to the Ministry of Justice and filed 13 cases of serious crimes at the origin of Dos included offenses of fraud, forgery and use of forgery of private documents, corruption, trafficking narcotics, aggravated fraud charges (419). During the same period, the following legal decisions have been registered with the Ministry of Justice: Two cases of liberation, a case of dismissal and a conviction. His figures are far lower than the 2011 report of the FIU, in which 17 cases were forwarded to the Attorney for judicial treatment against 15 in 2010. There were 74 cases of indictment, 6 cases of provisional measures, 27 arrest warrants, 16 remand, 8 letters rogatory, 27 orders of deposits, 10 convictions, one acquittal and 15 dismissed. These good results are due Senegal according to the report by the fact that during the period under review, Senegal has taken important legislative and regulatory measures to make his regime Lbc / Ft more efficient, particularly in the fight against the illicit enrichment. Thus, for the implementation of illicit enrichment, President Macky Sall issued Decree No. 2012-502 of 10 May 2012 appointing members of the seat of the Court for the Repression of Illicit enrichment. In addition, the government submitted the law No. 13/2012, for the creation of the National Anti-Corruption Office (OFNAC), which was adopted by the National Assembly during its meeting on 19 December 2012. Under the leadership of the FIU, Senegal has continued with the development of its national strategy document to Lcb / Ft which, due to some delay, was not finalized in September 2012 as planned. In the light of legislation and regulation undertaken by the new Senegalese authorities, the report says, it is clear that Senegal has shown a firm intention and determination to fight corruption, curb the misuse of public funds and above all eradicate mismanagement. The country needs to be accompanied in this dynamic by its technical and financial partners to ensure that these actions are successful.
Case Luc Nicolai? Notes, however, does the report said, the underlying crimes, particularly drug trafficking, remain major challenges in Senegal during the year covered by the report. In August 2012, for example, the repressive forces have dismantled a large network of dealers of counterfeit notes and arrested two Lebanese-Syrian. Significantly, a Senegalese member of the network was a close associate, a Politically Exposed Person (Ppe) in the country. Searches and seizures by the National Police led to the seizure of counterfeit banknotes of 500 Euros or $ 100 to whiten. The law enforcement officers also arrested a famous event promoter (editor's note: Luc Nicolai), a hotel manager (editor's note: Touly Bertrand, manager of Manatee Beach Saly) an indefinite number of customs officers for their alleged involvement in extortion and cocaine to the seaside resort of Saly. A search by two Senegalese Customs agents led to the discovery of 39 pellets of cocaine in the raided areas. All individuals have been arrested, interrogated while investigations are ongoing. It is important to note, the report said that the actions of the services of the Central Office for the Repression of Illicit Drug Trafficking (OCRTIS) who, having seized 3 kg of cocaine on a Guinean singer dismantled a large network traffic International drug using Dakar as a transit point.
The call of the Dg GIABA Macky Sall. May 24, 2012 according to the report, the Director General of GIABA spent a courtesy call to President Macky Sall to congratulate him on his well-deserved popular election and to draw attention to the lack of prosecution of cases of money laundering despite the number of cases referred to the prosecutor by the FIU. Even where such crimes were brought to justice, the outcomes have been seriously questioned by lawyers and the international community. In its response the report notes, the President Macky Sall informed the DG that his government was based on transparency and accountability and gave guidelines for the creation of a commission of recovery of property, and assured that justice will be made in all cases.
HAROUNA FALL

RAPPORT 2012 DU GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL D’ACTION CONTRE LE BLANCHIMENT D’ARGENT EN AFRIQUE DE L’OUEST


Le Sénégal…meilleur élève de la Cedeao


Le Giaba a procédé hier sous la présidence de son Directeur général Abdullahi Shehu à la présentation de son rapport annuel 2012 lors de la quatrième séance d’information annuelle à l’intention des Ambassadeurs de la Cédeao et des partenaires au développement. Un rapport qui classe le Sénégal meilleur élève des pays de la Cedeao en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme en 2012 contrairement à l’année 2011.


Sénégal meilleur élève. Le Sénégal, meilleur élève des pays de la Cedeao en matière de lutte contre le blanchiment des capitaux et la lutte contre le financement du terrorisme. Cela n’arrive pas tous les ans. Habitué des mauvais élèves en la matière et dans le respect des droits de l’Homme, le Sénégal depuis l’avènement de la seconde alternance, semble s’inscrire dans une bonne dynamique. Même si le directeur général du Giaba n’a pas voulu s’essayer au jeu de classement des pays de la Cedeao dans ce rapport, une analyse minutieuse des données contenues dans ledit rapport montre clairement que dans les différentes évaluations auxquelles les pays ont été soumis, le Sénégal est sorti du lot. Sur les 15 pays de la Cedeao évalués, le Sénégal a eu la meilleure évaluation. Il a obtenu la meilleure note conformité avec 6 points contre 3 pour son suivant immédiat la Guinée. Le Sénégal a aussi obtenu la meilleure note, pour la recommandation largement conforme (Lc) avec 13 points contre 9 pour son suivant immédiat la Gambie. Pour ce qui est des mauvaises notes (recommandations non conforme) le Sénégal a eu le plancher 12 alors que son suivant immédiat, le Nigéria est à 18 points. Aussi sur les 16 Recommandations clefs et principales, seul le Sénégal a moins de 9 partiellement conformes et non conformes, ce qui place le Sénégal en tête par rapport aux pays de la Cedeao. « Autre résultat honorable du Sénégal, d’après toujours ce rapport, il est le premier pays francophone de l’Afrique de l’Ouest à intégrer le réseau mondial des cellules de renseignement les plus performantes en 2009 (le groupe Egmont), suivi de la Côte d’Ivoire en 2010. Le Sénégal parrainé le Cameroun qui a été admis en 2010, le Mali en 2011, également le Burkina et le Togo qui viennent d’être admis la semaine dernière » confie une source interne au Giaba. Ce qui fait qu’aujourd’hui, le Sénégal est l’un des rares pays où les décisions de justice ont été rendues et des condamnations infligées aux coupables. En effet d’après le rapport 2012, de janvier à juin 2012, la Centif/Crf a reçu 58 déclarations suspectes (Dos) contre 92 cas en 2011 et 84 en 2010, selon le rapport 2011de la Centif (Cellule nationale de traitement de l’information financière). Ce qui montre le grand pas en avant du Sénégal depuis l’avènement du président Macky Sall au pouvoir. La Centif  n’a, en 2012, envoyé 4 rapports au ministère de la justice et classé 13 cas, les crimes graves à l’origine des Dos comportaient des délits de fraude, faux et usage de faux en écriture privée, corruption, trafic de stupéfiants, la fraude aggravée de redevance (419). Pendant la même période, les décisions de juridiques suivantes ont été enregistrées au ministère de la justice : deux cas de libération, un cas de licenciement  et une condamnation. Ses chiffres sont de loin inférieurs à ceux du rapport 2011 de la Centif, selon lequel 17 dossiers avaient été transmis au Procureur pour traitement judiciaire contre 15 en 2010. Il y avait eu 74 cas d’inculpation, 6 cas de mesures conservatoires, 27 mandats d’arrêts, 16 détentions provisoires, 8 commissions rogatoires, 27 ordonnances de dépôts, 10 condamnations, une relaxe et 15 non-lieu. Ces bons résultats du Sénégal s’expliquent selon le rapport par le fait que pendant la période en revue, le Sénégal a pris d’importantes mesures législatives et réglementaires pour rendre son régime de Lbc/Ft plus efficient, particulièrement sur la lutte contre l’enrichissement illicite. Ainsi, pour la mise en application de l’enrichissement illicite, le président Macky Sall a publié le décret N° 2012-502 du 10 mai 2012, désignant les membres du siège, de la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite. De plus, le gouvernement a soumis la loi N°13/2012, pour la création de l’Office National Anti-corruption (Ofnac), qui a été adoptée par l’Assemblée nationale durant sa session du 19 décembre 2012. Sous la conduite de la Centif, le Sénégal a continué avec l’élaboration de son document de stratégie nationale de Lcb/Ft qui, du fait d’un certain retard, n’a pas été finalisé à la septembre 2012 comme prévu.  A la lumière des actes législatifs et de régulation entrepris par les nouvelles autorités sénégalaises, souligne le rapport, il est clair que le Sénégal a montré une intention ferme et une détermination à combattre la corruption, freiner le détournement des deniers publics et par-dessus tout éradiquer la mauvaise gestion. Le pays a besoin d’être accompagné dans cette dynamique par ses partenaires financiers et techniques pour que ces actions soient couronnées de succès.
Affaire Luc Nicolaï ?  Toutefois relève-t-on dans le rapport, les crimes sous-jacents, particulièrement le trafic de drogue, restent des défis majeurs au Sénégal pendant l’année couverte par le rapport. En août 2012, par exemple, les forces de répression ont démantelé un vaste réseau de trafiquants de faux billets et arrêtés deux libano-syriens. Significativement, un sénégalais membre du réseau fut un proche associé, une Personne Politiquement Exposée (Ppe) dans le pays. Des perquisitions et des saisies par la police nationale ont mené à la saisie de faux billets de banque de 500 Euros et de 100 dollars à blanchir. Les agents de répression arrêtèrent aussi un célèbre promoteur d’évènements (Ndrl : Luc Nicolaï), un gérant d’hôtel (Ndrl : Bertrand Touly, gérant du Lamantin Beach à Saly) un nombre indéfini d’agents de douanes pour leur supposée implication dans l’extorsion et le trafic de cocaïne à la station balnéaire de Saly. Une perquisition par deux agents des douanes sénégalais a mené à la découverte de 39 pastilles de cocaïne dans les zones perquisitionnées. Tous les individus concernés ont été arrêtés, interrogés pendant que les enquêtes sont en cours. Il est important de souligner, selon le rapport que les actions des services de l’Office central de Répression du Trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) qui, après avoir saisi 3 kg de cocaïne sur un chanteur guinéen, a démantelé un vaste réseau de trafic international de stupéfiants qui utilise Dakar comme point de transit.
Le coup de fil du Dg du Giaba à Macky Sall.  Le 24 mai 2012 indique le rapport, le Directeur général du Giaba a passé un coup de fil de courtoisie au président Macky Sall pour le féliciter de son élection populaire bien méritée et pour attirer son attention sur la poursuite insuffisante des cas de blanchiment d’argent malgré le nombre de cas référés au procureur de la république par la Centif. Même là où de tels crimes ont été traduits en justice, les dénouements ont été gravement remis en question par des avocats et la communauté internationale. Dans sa réponse note le rapport, le président Macky Sall a informé le Dg que son gouvernement était basé sur la transparence et la responsabilité et qu’il a donné des directives pour la création d’une commission de recouvrements des biens, et assura que justice sera faite dans tous les cas.

HAROUNA FALL

mercredi 10 juillet 2013

INSOLITE REGARDEZ LES MIRACLES DU CREATEUR

Allah est le Seul a etre le Tout Puissant...

Investissement dans l’agriculture: Où sont passés nos 10%?


10 ans après, 10% moins de 10 pays : l’amère réalité de la déclaration de Maputo

Le 10 Juillet 2003, les Chefs d’Etat et de Gouvernement, membres de l’Union africaine,
signaient la déclaration de Maputo les engageant à allouer au moins 10% de leur budget
national à l’agriculture et à l’élevage, à l’horizon 2008. 10 ans plus tard, le constat est amer !
L’ensemble des pays de la CEDEAO dispose de Plans Nationaux d’Investissement Agricole,
mais seuls sept pays africains (Burkina Faso, Niger, Guinée, Sénégal, Mali, Malawi et
Ethiopie) ont atteint, entre 2003 et 2009, l’objectif des 10% d’investissement dont cinq
pays en Afrique de l’Ouest. Le Ghana a intégré depuis 2006 ce peloton de tête. Le Burkina
Faso est le pays qui a engagé proportionnellement le plus de fonds dans l’agriculture sur la
durée et qui a atteint le seuil de 6% de croissance du PIB agricole entre 2001 et 2006.
« En 2003, les Chefs d’Etat africains ont suscité de nombreux espoirs en remettant
l’agriculture au coeur de l’agenda politique continental. 10 ans plus tard, la barre symbolique
de Maputo reste toujours un objectif à atteindre pour près de 47 Etats africains sur 54. Les
dirigeants africains doivent tenir leur engagement voire dépasser ces 10%, mais ils doivent
surtout revoir la qualité des investissements» affirme M. Aliou Ibrahima, Secrétaire
Général de l’Association pour la Promotion de l’Elevage au Sahel et en Savane
(APESS).
Ainsi, alors que la CEDEAO vient de faire le bilan des Plans Nationaux d’Investissement
Agricoles et bien qu’ils reconnaissent le rôle et le potentiel des exploitations familiales, peu
de pays disposent de programmes spécifiquement centrés sur ces exploitations. A l’inverse,
une grande part des budgets agricoles est consacrée à un nombre restreint de programmes
dirigés principalement vers les grandes exploitations.
Pour Dodo Boureima, Secrétaire Exécutif du Réseau Billital Maroobé (RBM) « il est
inconcevable de parler d’investissement de qualité sans l’élevage. Au Sahel, l’élevage
représente une partie importante du secteur agricole mais ne reçoit qu’une part marginale
des financements agricoles. Au Niger, il contribue pour près de 22% des exportations et est
considéré comme l’un des secteurs qui contribuent le plus à la réduction de la pauvreté.
Malheureusement, il demeure le parent pauvre du secteur agricole avec 1,7% du budget
national en 2009 ».
En Afrique de l’Ouest, les femmes contribuent à la production de 80% des denrées
alimentaires de base alors que seulement 10% d’entre elles accèdent aux crédits agricoles.
En matière de propriété foncière, ce sont encore elles qui sont les plus défavorisées.
Seulement 8% d’entre elles ont accès à la terre. Elles pourraient augmenter les récoltes de
leurs exploitations agricoles de 20 à 30% si elles bénéficiaient du même accès aux
ressources productives (la terre, les engrais, les semences, les crédits agricoles et autres)
que les hommes. C’est ce type d’investissement qu’il faut promouvoir.
D'ici 2030, la population ouest africaine devrait doubler pour atteindre 500 millions
d’habitants, la demande en produits agricoles et d’élevage va augmenter. Ceci représente
une extraordinaire opportunité de sortir les populations les plus vulnérables de la faim. Il ne
faut surtout pas la manquer. En ce 10e anniversaire de la déclaration de MAPUTO, la
campagne CULTIVONS lance un appel fort à tous les chefs d’Etat africain pour investir
plus et mieux dans l’agriculture, et notamment l’élevage.
Eric Hazard, responsable de la Campagne CULTIVONS pour l’Afrique de l’Ouest, de
conclure : « En faisant de l’investissement qualitatif dans l’agriculture une priorité, les
gouvernements pourront assurer la souveraineté alimentaire de l’Afrique de l’Ouest et le
bien être de ses populations. L’alimentation est un droit, pour le mettre en oeuvre il faut
investir plus et mieux dans l’agriculture familiale, et notamment l’élevage qui à eux deux
contribuent à près d’un tiers du PIB et emploie 60% de la population ».
La campagne CULTIVONS va poursuivre son travail de sensibilisation, d’information et de
plaidoyer, pour qu’un large public interpelle les Chefs d’Etat et de gouvernement sur la
nécessité de disposer d’un nouvel engagement de Maputo, basé sur la qualité des
investissements, pour la mise en oeuvre des politiques agricoles et de sécurité alimentaire
en place!
 L’objectif de la campagne CULTIVONS est de permettre aux personnes vivant dans
la pauvreté de participer à la gestion globale des terres, de l'eau et du climat afin
qu'elles puissent cultiver et acheter suffisamment et de façon pérenne de la
nourriture. Les droits des femmes et l'égalité des sexes sont au centre de la
campagne. Les membres de la campagne CULTIVONS en Afrique de l’Ouest sont:
Réseau Billital Marobe, Poscao, IPAR, RACAO, APESS, WILDAF et OXFAM.

Investment in agriculture: Where is my 10%? 10 years later, 10% less than 10 countries: the bitter truth about the Maputo



Declaration
On 10th July 2003, all African Union Heads of State signed the Maputo Declaration promising
to spend at least 10% of their national budget on agriculture by 2008. Ten years later, it is a
sad state of affairs. All ECOWAS countries have developed National Agricultural Investment
Plans, but only seven African countries have consistently reached their target between
2003 and 2009, five of which are in West Africa. Since 2006, Ghana has joined this group.
Burkina Faso is the country that has allocated proportionally the highest amount of funds to
agriculture over the long term and achieved the target of 6% GDP agricultural growth
between 2001 and 2006.
“In 2003, the African Heads of State raised a lot of hopes by putting agriculture back at the
heart of the continent’s political agenda. Ten years on, the symbolic threshold of Maputo still
remains an unattained target for almost 80% of African countries. African leaders must fulfil,
or even exceed, their commitment to these 10%, but above all they must review the quality
of their investments”, declared Mr Aliou Ibrahima, General Secretary for APESS
(Association for the Promotion of Livestock Farming in the Sahel and Savannahs).
Although ECOWAS recently reviewed the National Agriculture Investment Plans and
recognised the role and potential of family run farms, few countries actually have plans that
are specifically focused on them. In contrast, most agriculture budgets are dedicated to a
limited number of programmes and directed to large farms. Key areas like livestock have
also been neglected.
For Dodo Boureima, the Executive Secretary of the Réseau Billital Maroobé (RBM), “it
is inconceivable to talk of high quality investment and disregard livestock. In the Sahel,
livestock farming represents a big part of the agricultural sector but it only receives a minor
share of funding. In Niger, it accounts for close to 22% of exports and is considered as one
of the sectors that contributes most to poverty reduction. Unfortunately, it remains the poor
cousin of the agricultural sector with just 1.7% of the national budget in 2009.”
In West Africa, women contribute to the production of 80% of basic foodstuffs, although only
10% of them have access to agricultural credit and only 8% own their own land. They could
grow 20 to 30% more food if they benefitted from the same access to land, fertilizer, seeds,
and credit as men.
2
POSCAO-AC
By 2030, the West African population will have doubled and reached 500 million inhabitants,
greatly increasing demand for agricultural and animal products. This offers an extraordinary
opportunity to lift the most vulnerable populations out of hunger- an opportunity that must not
be missed. On the 10th anniversary of the Maputo declaration, the GROW campaign is
launching a direct appeal to all African Heads of State to invest more and better in,
especially towards small scale farmers, women and livestock.
Eric Hazard, the Manager of the GROW campaign in West Africa concludes that: “By
making high-quality investment in agriculture a priority, governments can guarantee food
sovereignty for West Africa and secure the well-being of its people. People have a right to
food, but to make this right a reality it is essential to invest more and better in small-scale
farms, particularly livestock, which employ nearly two-thirds of the region’s population.”

The Presidency of Chad confirmed the death of eight Senegalese




Nationals of West African countries living in Ndjiaména (Chad) were arrested by the Public Security of the Republic of Chad.
During these operations, 18 Senegalese were arrested and remanded to police headquarters Ndjiaména (Chad).
This morning (08) Senegalese eight of these were found dead in conditions that we ignore for the moment, (02) both have disappeared.
Attorney Ndjiaména be seized. Initiate an investigation to determine the circumstances of their death.
Ndjiaména this July 10, 2013
PRESIDENCY OF THE REPUBLIC

La présidence du Tchad confirme la mort de 8 sénégalais

COMMUNIQUE


Des ressortissants des pays Ouest Africains vivant au Ndjiaména (Tchad) ont été arrêtés par les services de Sécurité Publique de la République de Tchad.
Au cours de ces opérations, 18 Sénégalais ont été arrêtés puis placés en détention provisoire au Commissariat central de Ndjiaména (Tchad).
Ce matin, (08) huit parmi ces Sénégalais ont été retrouvés morts dans des conditions que nous ignorons pour le moment, (02) deux ont disparu.
Le procureur de Ndjiaména sera saisi. Une enquête sera ouverte pour déterminer les circonstances de leur mort.
Ndjiaména ce 10 juillet 2013
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

South Africa: Mandela "not good", but conscious as the king of Thembus


WORLD - "He could not speak, but he recognized me and made some gestures of recognition, like moving his eyes," he told the great traditional chief Dalindyebo ...

Nelson Mandela, dans l'extrait d'une vidéo, le 29 avril 2013.
Nelson Mandela, who has been hospitalized for over a month is "clearly not good" but is aware, said Wednesday the Thembu king Buyelekhaya Dalindyebo, which includes the former South African president among his subjects. "It's going well," said the first king to AFP, before recovering ". Clearly, it is not going well"

King (great traditional chief) Dalindyebo visited Tuesday to Nelson Mandela, hospitalized since June 8 for recurrent pulmonary infection and considered in critical condition for more than fifteen days. It is placed on a respirator. "He could not speak, but he recognized me and made some gestures of recognition, like moving his eyes," he said. "Every time I spoke, he shook his head." "I could see that he was helped in many ways, he was intubated," he said.

"He has a lot of support"

Asked whether the great man could breathe on his own, the Thembu king replied: "He has a lot of assistance. (...) I'm sure that's what he needs. "The Thembus are a sub-group of the Xhosa tribe, from the south-east of South Africa. The Madiba clan, including Nelson Mandela is the most illustrious representative, is one. King Buyelekhaya Dalindyebo, a traditional high monarch color, has long been close to the ANC, anti-apartheid movement of Nelson Mandela in power since 1994.

It recently announced it would stop smoking dagga (grass) when President Jacob Zuma stop being corrupt, announcing that he had joined the Democratic Alliance, the main opposition party in South Africa. King Dalindyebo also announced that he wanted to deprive Mandla, the grand-son of the hero of the anti-apartheid struggle, which is a traditional chief of the village of Mvezo, where Nelson Mandela was born in 1918.

Mandla had Mvezo move the bodies of three children of Mandela in 2011, and was sued by five family members who were forced to make the body they are reburied in Qunu, the village where the great man wants to be buried. King even accused of wanting to Mandla family graves "a dance."

 Source 20 minutes With AFP

Afrique du Sud: Mandela «pas bien», mais conscient selon le roi des Thembus

MONDE - «Il ne pouvait pas parler, mais il m'a reconnu et a fait quelques gestes de reconnaissance, comme bouger ses yeux», a raconté le grand chef traditionnel Dalindyebo...Nelson Mandela, dans l'extrait d'une vidéo, le 29 avril 2013.


Nelson Mandela, qui est hospitalisé depuis plus d'un mois n'est «clairement pas bien» mais est tout à fait conscient, a indiqué mercredi le roi thembu Buyelekhaya Dalindyebo, qui compte l'ancien président sud-africain parmi ses sujets. «Il va bien», a d'abord dit le roi à l'AFP, avant de se reprendre: «Clairement, il ne va pas bien.»
Le roi (grand chef traditionnel) Dalindyebo a rendu visite mardi à Nelson Mandela, hospitalisé depuis le 8 juin pour une récidive d'une infection pulmonaire et considéré dans un état critique depuis plus de quinze jours. Il est placé sous assistance respiratoire. «Il ne pouvait pas parler, mais il m'a reconnu et a fait quelques gestes de reconnaissance, comme bouger ses yeux», a-t-il poursuivi. «Chaque fois que je parlais, il hochait la tête.» «Je pouvais voir qu'il était aidé de plusieurs façons, il était intubé», a-t-il expliqué.

«Il a beaucoup d'assistance»

A la question de savoir si le grand homme pouvait respirer tout seul, le roi thembu a répondu: «Il a beaucoup d'assistance. (...) Je suis sûr que c'est ce dont il a besoin.» Les Thembus sont l'un des sous-groupes de l'ethnie xhosa, originaires du sud-est de l'Afrique du Sud. Le clan Madiba, dont Nelson Mandela est le plus illustre représentant, en fait partie. Le roi Buyelekhaya Dalindyebo, un monarque traditionnel haut en couleurs, a longtemps été très proche de l'ANC, le mouvement anti-apartheid de Nelson Mandela au pouvoir depuis 1994.
Il a récemment fait savoir qu'il arrêterait de fumer de la dagga (herbe) quand le président Jacob Zuma arrêterait d'être corrompu, annonçant qu'il comptait rejoindre l'Alliance démocratique, le principal parti d'opposition en Afrique du Sud. Le roi Dalindyebo a également annoncé qu'il voulait déchoir Mandla, le petit-fils du héros de la lutte anti-apartheid, qui est chef traditionnel du village de Mvezo, où est né Nelson Mandela en 1918.
Mandla avait fait déplacer à Mvezo les dépouilles de trois enfants de Mandela en 2011, et a été attaqué en justice par quinze membres de la famille qui l'ont forcé à rendre les corps pour qu'ils soient réenterrés à Qunu, le village où le grand homme veut être inhumé. Le roi a même accusé Mandla de vouloir faire des tombes familiales «une piste de danse».
 Source 20 minutes Avec AFP

PRIERES A FAIRE 1ERE NUIT DU RAMADAN

1ère NUIT : Le croyant doit accomplir 10 rakkas, soit 5 sallama.



 Dans chaque rakka, il doit réciter à haute voix : 1 fois le Chapitre « Fatiha », 2 fois le Chapitre « Khoul ya ayouhal kafirouna » et 2 fois le Chapitre « Khoul hou allahou ahad ».  La chair de celui qui aurait fait cela, sera préservée de la flamme de l’Enfer.

SENEGAL CORRUPTION BAROMETER 2013: The police, political parties and justice: the most corrupt institutions


Police, Political Parties and Justice are the most corrupt institutions. In the public sector, the level of corruption reaches 90% and 61% of Senegalese believe that the level of corruption has increased in Senegal. Revelation made by the Civil Forum in Dakar last Tuesday during the launch of the Global Corruption Barometer 2013.


The most corrupt institutions. Speaking to the press, Cheikh Tidiane Sarr and Ndongo Diaw, both members of the Civil Forum, said that "114,270 people in 107 countries were surveyed." On a scale of 1 to 5, observe members of the Civil Forum "The scale of corruption in the public sector reached 90%." It is learned that the "Police, Political Parties and Justice" enthroned at the head of the most corrupt institutions with 4.1 respectively for the first two and four for the latter. "The Army with 2, 3 is the least corrupt institution in the country." The survey also points out that "citizens pay bribes, kickbacks amounting to 59% in terms of taxes, 55% in services licensing, stamp duty and registration at 54% of the Police. "The land and the health system are only concerned for respectively 41 and 45%. Moreover, "68% of respondents consider very inefficient fight against government corruption." By cons, "70% of them positively appreciate the involvement of ordinary citizens in this fight."
For the specific case of Senegal, they inform, "61% of people surveyed believe that the level of corruption has increased over the last 12 months." 25% say that "there is no change" against 14% believe that corruption has declined. According to the same survey, "90% of women believe that corruption is a serious problem in the public sector, against 88% of men." All sexes, they are "70% convinced of the importance of personal contacts in transactions and in the public sector. "
Recommendations. According to the Civil Forum, "Senegal until March 25, 2012 was in a state of endemic corruption." However, grade organization, "with the advent of the new regime, strong actions were taken in the direction of the fight against this phenomenon continues to gangrene the national economy and undermine the institutions. "Among the advances, the Civil Forum cites the" laws establishing the Code of Fiscal Transparency and the National Office for the fight against fraud and corruption (OFNAC). "But as the reactivation of the law Crei and consolidation of the powers of the Court of Auditors. Nevertheless, says the Civil Forum, the "virtuous governance is still theoretical and the majority of people judge the effectiveness of the government in the conduct of public affairs is also low." For all these reasons, the organization Mouhamadou MBodj recommends, among other things, the authorities' implementation of very fast OFNAC the adoption of the law on the financing of political parties and conflicts of interest. "and denounced" any attempt at mediation in criminal stalking ill-gotten gains, "before inviting" the State seamlessly manage the money received from the hunt. "
The survey was conducted between September 2012 and March 2013. The interviews were conducted directly by phone and internet. The survey was conducted on behalf of Transparency International by the company Win / Gia, a global network of polling institute.

SENEGAL CORRUPTION 2013 La police, les partis politiques et la justice : institutions les plus corrompues


La Police, les Partis politiques et la Justice sont les institutions les plus corrompues. Dans le secteur public, le niveau de corruption atteint les 90% et 61% des sénégalais pensent que le niveau de la corruption a augmenté au Sénégal. Révélation faite par le Forum civil à Dakar mardi dernier au cours du lancement du baromètre mondial de la corruption 2013.


Institutions les plus corrompues. Devant la presse, Cheikh Tidiane Sarr et Ndongo Diaw, tous deux membres du Forum civil, ont indiqué que «114 270 personnes vivant dans 107 pays ont été enquêtées.» Sur une échelle de 1 à 5, font observer les membres du Forum civil, «l’ampleur de la corruption dans le secteur public atteint les 90%.» On apprend que la «Police, les Partis politiques et la Justice» trônent en tête des institutions les plus corrompues avec respectivement 4,1 pour les deux premiers et 4 pour la dernière. «L’Armée avec 2, 3 reste l’institution la moins corrompue du pays.» Le sondage souligne également que les «citoyens paient des pots-de-vin à hauteur de 59% au niveau des Impôts, 55% dans les services de délivrance de permis, droits de timbres et d’enregistrement et 54% au niveau de la Police.» Le foncier et le système de santé ne sont concernés que pour respectivement 41 et 45%. Par ailleurs, «68% des personnes interrogées jugent très inefficace le combat du gouvernement contre la corruption.» Par contre, «70% d’entre elles apprécient positivement l’implication des citoyens ordinaires dans cette lutte.»
Pour le cas spécifique du Sénégal, informent-ils, «61% de citoyens sondés pensent que le niveau de la corruption a augmenté au cours des 12 derniers mois.» 25% soutiennent qu’ «il n’y a pas de changement» contre 14% qui estiment que la corruption a baissé. Toujours selon la même enquête, «90% de femmes considèrent que la corruption constitue un sérieux problème dans le secteur public, contre 88% d’hommes.» Tous sexes confondus, ils sont à «70% convaincus de l’importance des contacts personnels dans les transactions et dans le secteur public.»
Recommandations. Selon le Forum civil, le «Sénégal jusqu’au 25 mars 2012 était dans une situation de corruption endémique.» Cependant, nuance l’organisation, «avec l’avènement du nouveau régime, des actes forts ont été posés dans le sens de la lutte contre ce phénomène qui continue de gangréner l’économie nationale et de fragiliser les institutions.» Parmi les avancées, le Forum civil cite les «lois portant création du Code de transparence des finances publiques et de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac).» Mais aussi la réactivation de la Crei et la loi portant consolidation des prérogatives de la Cour des comptes. Malgré tout, souligne le Forum civil, la «gouvernance vertueuse est encore théorique et la majeure partie des populations juge que l’efficacité du gouvernement dans la conduite des affaires publiques est également faible.» Pour toutes ces raisons, l’organisation de Mouhamadou Mbodj recommande, entre autres, aux autorités la «mise en place très rapide de l’Ofnac, l’adoption de la loi sur le financement des partis politiques et les conflits d’intérêts.» Et dénonce «toute tentative de médiation pénale sur la traque des biens mal acquis», avant d’inviter «l’Etat à gérer de manière transparente l’argent reçu de cette traque.»

Ce sondage a été effectué entre septembre 2012 et mars 2013. Les entretiens ont été réalisés de manière directe, par téléphone et par internet. L’enquête a été réalisée pour le compte de Transparency international par l’entreprise Win/Gia, un réseau mondial d’institut de sondage.

Roadshow from Cape to Cairo: Philips introduces a technology for safe delivery


This Dakar yesterday in a Cape to Cairo Roadshow, Conrad H. Smits, the CEO of Royal Philips has announced the launch of an innovative reliable technology for safe delivery.


For 2013, Philips introduced its latest in ultrasound as well as temperature control systems for infants specially designed for providers of many of the continent clinical environments. Designed and developed for markets such as Africa, the new hot table Efficia offers a reliable solution for thermoregulation newborns creating a warm and stable environment, which is essential for the immediate and long-term survival of a baby. Efficia is designed as an open environment of care for newborns and provides an intense source of radiant heat energy, emitted by temperature feedback to the baby's skin. Easy to use and reliable, Efficia is another example of Philips' commitment to provide effective, affordable and simple solutions for reducing maternal and neonatal mortality in Africa. Philips has included in this traveling Senegal shipping for the first time in displaying his ambition to help revitalize the health infrastructure of the country and contribute to government efforts to improve maternal and child health. Over the two days, more than 160 health care professionals will be trained by Philips in Dakar to improve the quality of maternal and child care. The stage of Senegal, which is supported by the local partner Medisys (Medical Systems Sarl) is part of an aggressive multi-year investment plan to significantly increase the group's presence on the African continent with innovations to meet the needs premises. Philips also introduced the ClearVue 650 new, advanced functionality with Auto Face Reveal to visualize the baby's face ultrasound imaging system or strengthen the parent-fetus. ClearVue 650 is a lightweight and cost effective system that assists clinicians in the examination of pregnant women and improve their diagnosis and decision making. Apart from pregnancy-related care, the ClearVue 650 system covers a range of applications including obstetrics, gynecology, cardiology, abdominal, vascular, breast, musculoskeletal, urology and imaging in general.
                                                                                                                      HAROUNA FALL