vendredi 28 juin 2013

Obama en mode Tam-tam


Letter to Consul by Bousso Drame winner of the National Spelling Bee.



To His Excellency, the Consul General,
A Mr. Director of the French Institute of Senegal

My name is and I'm Bousso Drame a Senegalese citizen in that day, decided to take his pen to bring a message loud and especially into my heart.
As interest in the language of Molière, I decided to participate in last April, the National Spelling Competition 2013, organized by the French Institute, as part of the Prix de la Francophonie. The competition was attended by hundreds of candidates aged 18 to 35 years in the French Institutes of Dakar and Saint-Louis and the French Alliances Kaolack and Ziguinchor. After games on an extract of French Art of War Alexis Jenni, Prix Goncourt in 2011, I had the honor of winning the said contest winner. As such, an air-Dakar Paris-Dakar and CultureLab training realization of documentary film Albert Schweitzer Center tickets were granted me.
During my early life, I have been constantly while being open to the world that I am a citizen, to defend my pride in being black and African. It goes without saying that I firmly believe in the bright future of my beloved Africa. I also believe it is imperative that the prevailing prejudices about Africans and Africa, due to the colonial past and the difficult contemporary situation of the continent, are gone. It is time that Africans respect themselves and demand to be respected by others. This vision of a generous and open, yes, but proud and firm in demanding respect due to him and that he has had too long denied is a strong conviction that carries and transports me, literally Africa .
However, during my many interactions with one hand, some members of staff of the French Institute, and on the other hand, officials of the Consulate of France, I had to deal with attitudes and condescending , insidious, sneaky and vexatious. Not once, not twice, but several times! These attitudes, I really tried to ignore them but the execrable home with the Consulate of France has shown to me (and that of the majority of Senegalese visa applicants) was the straw too, in a vase, alas, already full to the brim.
Authentic person who can not cheat, a difficult but necessary decision was the natural choice for me. An all expenses paid trip, it was the most beautiful and the most enchanting in the world, does not deserve my compatriots and I were suffering such actions by the Consulate of France. Training as exciting as it is, and God knows that it really interests me, not worth experiencing these attitudes we unfortunately found large scale under the African skies. For consistency with my value system, I therefore decided to give up, despite the visa.
Renouncing the symbol.
Waive on behalf of all those thousands of Senegalese who deserve respect, a respect that they are denied in these representations of France, Senegalese land, at that.
This decision is not a sanction against individuals, but against a general system that, despite the denials of my fellow citizens, seems to have no intention of questioning.
Furthermore, I find it particularly ironic that the partial title of the course which I did not take either hand: "France is always the homeland of human rights. The extent to which they are French citizens of Europe, the world? "It would, no doubt, is an interesting documentary about seen an African perspective and I hope to have the opportunity, in other ways, to participate in a future CultureLab training.
I want to thank the French Institute anyway, for the initiative of the competition, which, in my opinion deserve to continue to exist or be held at regular intervals and more so, to stimulate intellectual competition between young Senegalese and delight lovers of the French language, including myself.
Madam Clerk at Bank Consulate of France - I do not know your name, but I tell you about this visa I will not use: No, thank you.
Proudly Africainement and sincerely yours.
Bousso Drame
International Consultant
Recipient of the Award of Excellence from the Government of Senegal
Recipient of the Eiffel scholarship from the French Government for foreign students
A graduate of Sciences Po Paris, Master in International Business
A graduate of the London School of Economics, MSc in International Political Economy
Nominated "Global Shaper" by the World Economic Forum

Lettre adressée au Consul par Bousso Dramé lauréate du concours National d’orthographe.






A Son Excellence, Monsieur le Consul Général,
A Monsieur le Directeur de l’Institut Français du Sénégal,

Mon nom est Bousso Dramé et je suis une citoyenne sénégalaise qui, en ce jour, a décidé de prendre sa plume pour porter haut et fort un message me tenant particulièrement à cœur.
Par intérêt pour la langue de Molière, j’ai décidé de participer en Avril dernier, au Concours National d’Orthographe 2013, organisé par l’Institut Français, dans le cadre des Prix de la Francophonie. Le concours a réuni quelques centaines de candidats, âgés de 18 à 35 ans dans les Instituts Français de Dakar et de Saint-Louis ainsi que les Alliances Françaises de Kaolack et de Ziguinchor. A la suite de joutes portant sur un extrait de L’Art Français de la Guerre d’Alexis Jenni, Prix Goncourt 2011, j’ai eu l’honneur d’être primée Lauréate dudit Concours. A ce titre, un billet d’avion Dakar-Paris-Dakar et une formation CultureLab en réalisation de film documentaire au Centre Albert Schweitzer m’ont été octroyés.
Durant ma petite vie, je n’ai eu de cesse, tout en étant ouverte sur le monde dont je suis une citoyenne, de défendre ma fierté d’être noire et africaine. Il va sans dire que je crois résolument à l’avenir radieux de ma chère Afrique. Je suis également d’avis qu’il est impératif que les préjugés qui ont prévalu au sujet des Africains et de l’Afrique, du fait du passé colonial et de la situation contemporaine difficile de ce continent, soient révolus. Il est temps que les Africains se respectent eux-mêmes et exigent d’être respectés par les autres. Cette vision d’une Afrique généreuse et ouverte, certes, mais fière et ferme dans l’exigence du respect qu’on lui doit et qu’on ne lui a que trop longtemps refusé est une conviction forte qui me porte et me transporte, littéralement.
Cependant, durant mes nombreuses interactions avec, d’une part, certains membres du personnel de l’Institut Français, et, d’autre part, des agents du Consulat de France, j’ai eu à faire face à des attitudes et propos condescendants, insidieux, sournois et vexatoires. Pas une fois, ni deux fois, mais bien plusieurs fois! Ces attitudes, j’ai vraiment essayé de les ignorer mais l’accueil exécrable dont le Consulat de France a fait montre à mon égard (et à celui de la majorité de Sénégalais demandeurs de visas) a été la goutte d’eau de trop, dans un vase, hélas, déjà plein à ras bord.
En personne authentique qui ne sait pas tricher, une décision difficile mais nécessaire s’est naturellement imposée à moi. Un voyage tous frais payés, fut-il le plus beau et le plus enchanteur au monde, ne mérite pas que mes compatriotes et moi souffrions de tels agissements de la part du Consulat de France. Une formation aussi passionnante soit-elle, et Dieu sait que celle-ci m’intéresse vraiment, ne vaut pas la peine de subir ces attitudes qu’on retrouve malheureusement à grande échelle sous les cieux africains. Par souci de cohérence avec mon système de valeurs, j’ai, donc, pris la décision de renoncer, malgré l’obtention du visa.
Renoncer pour le symbole.
Renoncer au nom de tous ces milliers de Sénégalais qui méritent le respect, un respect qu’on leur refuse au sein de ces représentations de la France, en terre sénégalaise, qui plus est.
Cette décision n’est pas une sanction contre des individualités, mais contre un système généralisé qui, malgré les dénégations de mes concitoyens, semble ne pas avoir l’intention de se remettre en cause.
Par ailleurs, je trouve particulièrement ironique que l’intitulé partiel de la formation à laquelle je ne prendrai pas part soit : « La France est-elle toujours la Patrie de Droits de l’homme. Jusqu’à quel point les Français sont-ils des citoyens d’Europe, du monde? » Cela aurait, sans aucun doute, fait un intéressant sujet de documentaire vu d’une perspective africaine et j’espère, avoir l’occasion, par d’autres voies et moyens, de participer à une future formation CultureLab.
Je tiens à remercier, l’Institut Français tout de même, pour l’initiative de ce concours, qui, à mon avis mériterait de continuer à exister, voire se tenir à fréquence plus régulière et ce, pour stimuler l’émulation intellectuelle entre jeunes Sénégalais et pour le plaisir des amoureux de la langue française, dont je fais partie.
Madame la Préposée au Guichet du Consulat de France - je ne connais pas votre nom, mais je vous dis au sujet de ce visa dont je ne me servirai pas : Non, merci.
Fièrement, sincèrement et Africainement vôtre.
Bousso Dramé 
Consultante Internationale
Récipiendaire de la Bourse d’Excellence du Gouvernement Sénégalais
Récipiendaire de la Bourse d’Excellence Eiffel du Gouvernement Français pour les étudiants étrangers
Diplômée de Sciences Po Paris, Master en Affaires Internationales
Diplômée de la London School of Economics, MSc in International Political Economy
Nominée “Global Shaper” par le Forum Economique Mondial

Obama asked Youssou Ndour to organize a "World Music Day" in Washington




The king of Mbalax just shown once again the face of the world, he is a superstar. After managing to make dance the U.S. presidential couple Barack and Michelle Obama, he had a few minutes of interaction with Barack Obama before the latter's departure for South Africa at the Leopold Sedar Senghor Airport. The President of the USA Barack Obama sought to organize a unique concert in Washington, "a World music day". It is the Minister of Tourism and Recreation Youssou Ndour who made the revelation on Tfm chain shortly after the start of U.S. President Barack Obama.

Obama a demandé à Youssou Ndour d'organiser un "World Music Day" à Washington



Le roi du Mbalax vient de montrer encore une fois à la face du monde, qu'il est une star planétaire. Après avoir réussi à faire danser le couple présidentiel américain Barack et Michelle Obama, il a eu droit à quelques minutes d'échanges avec Barack Obama avant le départ de ce dernier pour l'Afrique du Sud à l'aéroport Léopold Sédar Senghor. Le président des Usa Barack Obama a sollicité pour l'organisation d'un concert inédit à Washington, "un World music day". C'est le ministre du Tourisme et des Loisirs Youssou Ndour qui en a fait la révélation sur la chaîne Tfm peu après le départ du président américain Barack Obama.

What Yal did as recommendations to Obama



The Young African leader (Yal), the voice of Mrs. Ada Padane which was received yesterday at Gorée Institute, presented to U.S. President Barack Obama a series of recommendations on the role of youth in strengthening democracy and economic development and social.

 Aïssatou Padane the Yal, who had invited last Tuesday at Warc, all leaders of youth organizations to a national dialogue on the role of youth in strengthening democracy and economic and social development, was among the members of civil society, received by President Barack Obama. A series of recommendations was forwarded to the U.S. President. In the field of education and training, youth recommend that there is a training / job matching, a focus on technical education, research and new technologies, the integration of leadership in the school system basic and continuing education, the promotion of "role models" to create references around the young, encouraging the media to the local and international promotion of "success stories" (success stories) and reduce the focus on sports fighting like wrestling, music, non-profit television series, using a web platform as a key tool to facilitate communication between educational communities in order to facilitate trade and access to information, reduce the digital divide in schools and universities, to strengthen educational exchanges between the United States and Senegal (facilitation and increase local and foreign exchanges and international exchange programs), education egalitarian girls / boys, cultivate a sense of citizenship and patriotism in the elementary and in the "daara" (Koranic school) and learning centers. In the field of adolescent health and youth, youth ask that there is a plea for universal health coverage for all young Senegalese, which enhances access to information and services SRAJ at school and outside school, easy access to information using ICT and social media integration to promote sex education for adolescents and young people in school curricula. For employment and entrepreneurship component, young people are for the networking of all associations working in the development of youth entrepreneurship, the establishment of funds for financing or guarantees to support innovative youth projects, a better support for agricultural banks (cultural and craft) and make available agricultural training (university level). For governance and civic engagement, they proposed the involvement of young people in the context of participatory democracy, the fight against corruption, promoting good governance, gender and generational equality in decision-making bodies the introduction of mass media to make available data, statistical and budgetary situations, inform the taxpayer about how their money is spent. The section on leadership and youth participation, a federation of youth actions, the formation of an important to effectively advocate the culture of volunteerism and concrete actions and promoting frameworks and exchange lobby (forums, workshops, conferences) prominently on the document. On the environment and sustainable development, youth asked the President of the first world power there is a reduction in pollution, the introduction of waste recycling system, the integration of preservation of the environment in the school curriculum, involvement in campaigns to protect the environment in areas at risk and in the fight against land degradation, promote sustainable development through renewable energy and organic agribusiness.

HAROUNA FALL

Rencontre obama-societe civile senegalaise les recommandations et priorités du Yal



Le Young African leader (Yal), par la voix de Mme Aïssatou Padane qui a été reçue hier à Gorée Institute, a remis au Président américain Barack Obama une série de recommandations sur le rôle des jeunes dans le renforcement de la démocratie et le développement économique et social.
 Aïssatou Padane du Yal, qui avait convié, mardi dernier, au Warc, l’ensemble des organisations de jeunes leaders à une concertation nationale sur le rôle des jeunes dans le renforcement de la démocratie et le développement économique et social, était parmi les membres de la société civile, reçus par le Président Barack Obama.  Une série de recommandations a été transmise au Président américain. Dans le domaine de l’éducation et de la formation, les jeunes recommandent qu’il y ait une adéquation formation/emploi, un focus sur l’enseignement technique, la recherche et les nouvelles technologies, l’intégration du leadership dans le système scolaire de base et la formation continue, la promotion des «rôles modèles» pour créer des références autour des jeunes, l’incitation des médias à la promotion locale et internationale des «succes stories» (exemple de réussite) et réduire le focus sur des sports de combat comme la lutte, la musique, les séries télévisées non lucratives, l’utilisation d’une plateforme web comme outil privilégié pour faciliter la communication entre les communautés éducatives, afin de faciliter les échanges et l’accès à l’information, réduire la fracture numérique en milieu scolaire et universitaire, renforcer les échanges éducatifs entre les États-Unis et le Sénégal (facilitation et augmentation des bourses locales et étrangères et des programmes d’échanges internationaux), éducation égalitaire filles/garçons, cultiver le sens de la citoyenneté et le patriotisme dans l’élémentaire et dans les «daara» (école coranique) et dans les centres d’apprentissage.  Dans le domaine de la santé des adolescents et des jeunes, les jeunes demandent à ce qu’il y ait un plaidoyer pour une couverture médicale universelle pour tous les jeunes sénégalais, qu’on renforce l’accès à l’information et aux services SRAJ en milieu scolaire et extra scolaire, faciliter l’accès à l’information à l’aide des Tic et des médias sociaux, l’intégration de la promotion de l’éducation sexuelle des adolescents et des jeunes dans les programmes scolaires. Pour le volet emploi et entrepreneuriat, les jeunes sont pour la mise en réseau de toutes les associations qui œuvrent dans le développement de l’entrepreneuriat jeune, la mise en place de fonds de financement ou de garantie pour soutenir les projets de jeunes innovateurs, un meilleur soutien aux banques agricoles (culturelles et artisanales) et rendre accessible la formation professionnelle agricole (au niveau universitaire). Pour la gouvernance et l’engagement civique, ils ont proposé une implication des jeunes dans le cadre de la démocratie participative, la lutte contre la corruption, la promotion de la bonne gouvernance,  de la parité genre et générationnelle dans les instances de prise de décisions, la mise en place d’organes d’information pour rendre disponibles les données, les statistiques et situations budgétaires, informer le contribuable sur la manière dont est dépensé son argent. Sur le volet relatif au leadership et participation des jeunes, une fédération des actions de jeunes, la constitution d’un lobby important pour mener un plaidoyer efficace, la culture du bénévolat et les actions concrètes et la promotion de cadres de concertation et d’échange (forum, ateliers, conférences) figurent en bonne place sur le document. Sur l’environnement et développement durable, les jeunes ont demandé au Président de la première puissance mondiale qu’il y ait une réduction de la pollution, la mise en place du système de recyclage de déchets, l’intégration de la préservation de l’environnement dans les programmes scolaires, l’engagement dans les campagnes de protection de l’environnement dans les zones à risque et dans la lutte contre la dégradation des terres, la promotion du développement durable par les énergies renouvelables et l’agrobusiness bio.
HAROUNA FALL

Youssou Ndour danced Barack and Michelle Obama





According to "Pop" and "As", Tourism Minister Youssou Ndour danced Barack and Michelle Obama and Mrs. Sall Marième last night at the gala dinner held for the U.S. presidential couple at the Palace of the Republic. But President Macky Sall despite the insistence of Barack Obama remained as usual very "serious" by just simply encourage guests to break Barack.

Youssou Ndour fait danser Barack et Michelle Obama




Selon le Pop et L’As, le ministre du Tourisme Youssou Ndour a fait danser Barack et Michelle Obama et Mme Marième Sall hier soir lors du dîner de gala organisé à l'intention du couple présidentiel américain au Palais de la République. Mais le président Macky Sall malgré l'insistance de Barack Obama est resté comme d'habitude très "sérieux" en se contentant tout simplement d'encourager ses invités à casser la Barack.

  

jeudi 27 juin 2013

Read for you: Case Snowden: Ecuador raises his voice against the United States




Quito-Afp
 Ecuador raised the tone Thursday against the United States by renouncing an "instrument of blackmail" qualified customs agreement, a dramatic gesture when Quito examines the claim of the former consultant Edward Snowden, Washington wanted for espionage.
In a statement resembling martial, the government of Quito waived "unilateral and irrevocable" this agreement which granted preferential prices in return for its efforts to fight against drug trafficking, ensuring not accept "no pressure or threats person. "
"Ecuador does not bargain with the principles, it does not submit to mercantile interests, important as they are," as read by the Minister of Communication Fernando Alvarado this message.
This development comes as the Latin American countries led by socialist President Rafael Correa, investigating the claim of the former consultant to the National Security Agency (NSA), the source of the revelation an extensive program of American telephone and electronic surveillance. Mr. Snowden is currently in the international transit area of ​​the Moscow-Sheremetyevo airport.
According to the statement of Quito authorities, the customs agreements signed by the United States with several Andean and applied in Ecuador since 1991 countries are actually "quickly became an instrument of blackmail."
The Ecuadorian president said on its website that "explicit and implicit pressures" had been exercised by the United States about the "examination of Edward Snowden application for asylum" as well as " granted asylum to Julian Assange ", the founder of WikiLeaks, a refugee from one year to the Embassy of Ecuador in London.
For its part, Washington has warned that any asylum in Quito "would create serious difficulties" in bilateral relations. "If they took this measure, there would be a very negative impact," warned the deputy spokesman for the State Department, Patrick Ventrell.
In power since 2007, Mr. Correa, a leader with the strained U.S. relations, said Sunday he was looking for with a "great sense of responsibility" and the "absolute respect for the sovereignty" of demand asylum, as in the case of Assange, another pet peeve of Washington after disclosing on its website hundreds of thousands of confidential U.S. cables.
Ecuadorian Minister for Relations with Parliament, Betty Tola, assured that the government had "not authorized the issuance of any safe conduct or document refugee" Mr. Snowden, adding that his asylum n 'had "not yet been processed because the applicant is not in Ecuador."
This development comes as the U.S. channel Univision announced earlier that the Ecuadorian consul in London had granted a safe-conduct to the young American of 30 years, whose passport was revoked by the United States.
"Any such document has no validity and is the sole responsibility of the person who issued it," said Mrs. Tola.
The minister also suggested that the sanctions are threatened Mr. Snowden "may violate the American Convention on Human Rights, the United States has unfortunately not signed."
Termination of the customs agreement with the United States ahead of the decision to be taken in this Congress. For several weeks, President Correa, who was reelected in February for a new term of four years, had raised the risk that parliamentarians do not renew the agreement.
In his statement Thursday, the Ecuadorian Government reiterates that the White House waved "threats" and demonstrated "insolence" in this issue of preferential tariffs, which represents an annual savings of approximately $ 23 million for this country Andean more than 15 million inhabitants.
Regarding the fight against drugs, the foundation of this trade agreement, Quito also criticized U.S. policy on the matter, citing "violations against the rights and sovereignty of peoples."
Within the opposition and business, very hostile to the Head of State, the "anti-imperialist" position Correa raises several days swirls, with the fear of reprisals from the United States largest trading partner in Ecuador which destines him 40% of its exports.
The abandonment of the customs agreement is "wrong and hasty decision because there was no formal announcement by the government of the United States threatening to withdraw," lamented Roberto Aspiazu, head of the Ecuadorian Management Committee, told the AFP.

Lu pour vous: Affaire Snowden: l'Equateur hausse le ton face aux Etats-Unis




Par Quito (AFP)© 2013 AFP

 L'Equateur a haussé le ton jeudi face aux Etats-Unis en renonçant à un accord douanier qualifié "d'instrument de chantage", un geste spectaculaire au moment où Quito examine la demande d'asile de l'ex-consultant Edward Snowden, recherché pour espionnage par Washington.
Dans une déclaration aux allures martiales, le gouvernement de Quito a renoncé "de manière unilatérale et irrévocable" à cet accord qui octroyait des tarifs préférentiels en contrepartie de ses efforts pour lutter contre le trafic de drogue, assurant n'accepter "ni des pressions ni des menaces de personne".
"L'Equateur ne marchande pas avec les principes, il ne les soumet pas à des intérêts mercantiles, aussi importants qu'ils soient", selon ce message lu par le ministre de la Communication Fernando Alvarado.
Cette mise au point intervient alors que le pays latino-américain, dirigé par le président socialiste Rafael Correa, étudie la demande d'asile de l'ancien consultant de l'Agence nationale de sécurité (NSA), à l'origine de la révélation d'un vaste programme américain de surveillance téléphonique et électronique. M. Snowden se trouve actuellement dans la zone internationale de transit de l'aéroport Moscou-Cheremetievo.
Selon la déclaration des autorités de Quito, ces accords douaniers, signés par les Etats-Unis avec plusieurs pays andins et appliqués en Equateur depuis 1991, sont en réalité "devenus rapidement un nouvel instrument de chantage".
La présidence équatorienne a précisé, sur son site internet, que des "pressions explicites et implicites" avaient été exercées par les Etats-Unis à propos de l'"examen de la demande d'asile d'Edward Snowden", ainsi que sur "l'asile accordé à Julian Assange", le fondateur du site WikiLeaks, réfugié depuis un an à l'ambassade d'Equateur à Londres.
De son côté, Washington a averti qu'un éventuel octroi de l'asile par Quito "créerait de graves difficultés" pour les relations bilatérales. "S'ils prenaient cette mesure, il y aurait des répercussions très négatives", a prévenu le porte-parole adjoint du département d'Etat, Patrick Ventrell.
Au pouvoir depuis 2007, M. Correa, un dirigeant aux relations tendues avec les Etats-Unis, a affirmé depuis dimanche qu'il examinait avec un "très grand sens des responsabilités" et dans le "respect absolu de la souveraineté" la demande d'asile, comme dans le cas d'Assange, autre bête noire de Washington après avoir divulgué sur son site des centaines de milliers de câbles confidentiels américains.
La ministre équatorienne chargée des relations avec le Parlement, Betty Tola, a assuré que le gouvernement n'avait "pas autorisé la délivrance d'aucun sauf-conduit ou document de réfugié" à M. Snowden, précisant que sa demande d'asile n'avait "pas encore pu être traitée car le demandeur ne se trouve pas en territoire équatorien".
Cette mise au point intervient alors que la chaîne américaine Univision a annoncé auparavant que le consul équatorien à Londres avait octroyé un sauf-conduit au jeune américain de 30 ans, dont le passeport a été révoqué par les Etats-Unis.
"Tout document de ce type n'a aucune validité et relève de la responsabilité exclusive de celui qui l'a émis", a souligné Mme Tola.
La ministre a aussi estimé que les sanctions dont est menacé M. Snowden "pourraient violer la Convention interaméricaine des droits de l'homme, que les Etats-Unis n'ont malheureusement pas signée".
La résiliation de l'accord douanier avec les Etats-Unis devance la décision que devait prendre à ce sujet le Congrès américain. Depuis plusieurs semaines, le président Correa, qui a été réélu en février pour un nouveau mandat de quatre ans, avait évoqué le risque que les parlementaires ne renouvellent pas cet accord.
Dans sa déclaration de jeudi, le gouvernement équatorien réaffirme que la Maison Blanche a brandi des "menaces" et fait preuve d'"insolence" dans ce dossier des tarifs préférentiels, qui représentent une économie annuelle d'environ 23 millions de dollars pour ce pays andin de plus de 15 millions d'habitants.
Concernant la lutte antidrogue, le fondement de cet accord commercial, Quito a aussi critiqué la stratégie américaine en la matière, dénonçant "des violations contre les droits de l'homme et la souveraineté des peuples".
Au sein de l'opposition et des milieux d'affaires, très hostiles au chef de l'Etat, la position "anti-impérialiste" de M. Correa suscite depuis plusieurs jours des remous, avec la crainte de représailles de la part des Etats-Unis, premier partenaire commercial de l'Equateur qui lui destine 40% de ses exportations.
L'abandon de l'accord douanier est une "décision erronée et précipitée car il n'y avait aucune annonce formelle du gouvernement des Etats-Unis menaçant de le retirer", a déploré Roberto Aspiazu, responsable du Comité patronal équatorien, interrogé par l'AFP.

Obama le Papa sénégalais: Regardez!!!


Les Photos de Barack Obama à Dakar




Obama to Youssou Ndour "I am proud of you"



The image is sharp, vivid. President Barack Obama grabbed the hand of Youssou Ndour before requesting a photo. This is similar in many respects to an autograph request. Everyone asks the question that the two men met for the first time could tell. Well aware that Michelle Obama and her husband were not deprived of what they thought of the Minister of Tourism and Recreation. A source who heard the remarks made by the two men that we have attached to the net heart confirms that Obama is a fan of the king of mbalax. She gave clear and precise clear explanations to show us that the host of Senegal (Barack Obama) started to go from "I am proud of you" * (I'm proud of you). "My wife and I are your fans, we listen to your music forever. I'm close to you I have also some of your songs in my ipad. "In his compliments, the U.S. President to serve on the owner of "my Fékkée it Boole" movement that was the pride of Senegal and Africa for everything he does. I'm with you for a long time. I am your career, your commitment alongside Senegalese and Africans. "Finally it he said "I'm glad to meet you. And Macky Sall told me that it was possible that you make an interpretation in the evening. "

Youssou Ndour in good gentleman, according to our interlocutor them first welcomed (the Obamas) on African soil and Senegal in particular. Before you say "I am proud and honored to meet you." The result speaks for itself, because the same witnesses at the scene were surprised warm exchanges between the two men.

The Observer

Obama à You "I am proud of you"



L’image est forte, saisissante. Le Président Barack Obama qui se saisit de la main de Youssou Ndour avant de réclamer une photo. Cela ressemble à bien des égards à une demande d’autographe. Tout le monde se pose la question de savoir ce que les deux hommes qui se rencontraient pour la première fois pouvaient se dire. Eh bien sachez que Michelle Obama et son époux ne se sont pas privés de dire ce qu’ils pensaient du ministre du Tourisme et des Loisirs. Une source qui a eu vent des propos tenus par les deux hommes que nous avons jointe pour en avoir le cœur net nous confirme qu’Obama est un fan du roi du mbalax. Elle a donné des explications claires nettes et précises pour nous signifier que l’hôte du Sénégal (Barack Obama) a lancé to de go «I am proud of you»* (je suis fier de toi). «Ma femme et moi sommes tes fans, nous écoutons ta musique toujours. Je te suis de près d’ailleurs, j’ai quelques unes de tes chansons dans mon ipad». Dans ses compliments, le Président américain à signifier au patron du mouvement «Fékkée ma ci boolé» qu’il faisait la fierté du Sénégal et de l’Afrique pour tout ce qu’il fait. Je te suis depuis longtemps. Je suis ta carrière, ton engagement au côté des Sénégalais et des Africains». Enfin lui a-t-il dit «Je suis content de te rencontrer. Et, Macky Sall m’a dit qu’il était possible que tu fasses une interprétation lors de la soirée».
Youssou Ndour en bon gentleman, selon notre interlocuteur leur a d’abord souhaité la bienvenue (au couple Obama) en terre africaine et sénégalaise en particulier. Avant de lui dire «Je suis fier et honorer de te rencontrer». La suite se passe de commentaires, puisque mêmes les témoins de la scène ont été surpris des échanges chaleureux entre les deux hommes.   
L'Observateur  

When Obama speaks Wolof and promises to return to see a wrestling



U.S. President Barack Obama said a few words in Wolof at the press conference with journalists. Addressing President Macky Sall, he told her "Nio far" (We are together), a very popular expression especially among young people which reflects the good relationship between two people. He also welcomed the Teranga (hospitalilité) Senegalese, before saying "Diaradieuf" (Thank you) people of Senegal for the home that he has booked his wife Michelle and their two daughters. He said he regretted not being able to attend a wrestling match, very popular sport in Senegal. But this is only a postponement, he has perhaps come back one day to attend a wrestling match.

Quand Obama parle Wolof et promet de revenir un combat de lutte



Le président américain Barack Obama a prononcé quelques mots en Wolof lors de la conférence de presse avec les journalistes. S'adressant au président Macky Sall, il lui a dit "Nio far" (On est ensemble), une expression très en vogue surtout chez les jeunes qui traduit les bonnes relations entre deux personnes. Il a aussi salué la Téranga (hospitalilité) sénégalaise, avant de dire "Diaradieuf" (Merci) au peuple sénégalais pour l'accueil qu'on lui a réservé avec sa femme Michelle et ses deux filles. Il a dit regretter de ne pas pouvoir assister à un combat de lutte, sport très populaire au Sénégal. Mais ce n'est que partie remise, il compte peut-être revenir un jour pour assister à un combat de lutte.

PHOTO DE BARACK ET MICHELLE OBAMA A GOREE

Jeudi après-midi, Barack Obama et sa famille se sont rendus sur l'île de Gorée au large de Dakar où ils ont visité la Maison des esclaves et sa célèbre porte du "non retour" d'où sont partis vers les Amériques des milliers d'Africains arrachés à leur terre. AFP/Saul Loeb

Macky Sall to Obama:'' We do not expect decriminalize homosexuality "



Dakar, June 27 (APS), Macky Sall and his counterpart from the United States Barack Obama have both said Thursday in Dakar that gay rights should be respected, the Senegalese president, however, that under his country was not ready to decriminalize homosexuality.
Homosexuality is "fundamentally a social issue on which there can be a fixed and applicable model for all nations and all countries. Course, we have different cultures, different religions and traditions" Sall said at a joint press conference with Obama.

The President of the United States performs a two-day visit to Senegal since Wednesday.

"Font of the general principles that all nations can share, respect for the individual and non-discrimination. Senegal, in his case, is a tolerant country that does not discriminate in terms of treatment inalienable rights, "said Macky Sall, speaking about as a result of its host.

"We do not say to someone that will not be hired because he is a homosexual. [...] But we are not ready to decriminalize homosexuality. I already said Council of Ministers and is the option of Senegal, "said the Senegalese president, noting that his country" [compliance] gay rights. "

"We are not yet willing to waive this provision of the law" considering homosexuality as a crime in Senegal, he said.

This "does not mean that we are homophobic. Should the company [to seize of] this issue and take the time to treat it without pressure," said Sall.

"Be reassured. Senegal is really a free country where homosexuals are not persecuted. But for now, they must also respect the choices of others" not to be gay, insisted the head of State Senegalese.

"These are issues that need to leave the company. She will adjust according to changing attitudes and what people regard as acceptable or not acceptable," he argued.

Comes first on this subject, Barack Obama said that "homosexuality and lesbianism are controversial issues in many parts of Africa."

"Each country has its own customs, traditions and religious beliefs" it can be argued regarding homosexuality, he added.

"Everyone should be treated equally" regardless of "sex, sexual orientation, race ..." However, said Mr. Obama.

"All the religions of the world are based on this principle: equality between people," he added.
ESF / BK

Macky Sall à Obama : ''Nous ne comptons pas dépénaliser l'homosexualité"




 2013-06-27 14:02:19 GMT
Dakar, 27 juin (APS) -Macky Sall et son homologue des Etats-Unis Barack Obama ont tous les deux estimé jeudi à Dakar que les droits des homosexuels devaient être respectés, le président sénégalais relevant toutefois que son pays n'était pas prêt à dépénaliser l'homosexualité.
L'homosexualité est "fondamentalement une question de société, sur laquelle il ne saurait y avoir un modèle fixe et applicable pour toutes les nations et tous les pays. Bien sûr, nous avons des cultures différentes, des religions différentes et des traditions différentes", a dit M. Sall lors d'une conférence de presse donnée conjointement avec M. Obama.

Le président des Etats-Unis effectue une visite de deux jours au Sénégal, depuis mercredi.

"Font partie des principes généraux, que toutes les nations peuvent partager, le respect de la personne humaine et la non-discrimination. Le Sénégal, en ce qui le concerne, est un pays tolérant, qui ne fait pas de discrimination en termes de traitement des droits inaliénables de la personne", a affirmé Macky Sall, intervenant à ce sujet à la suite de son hôte.

"Nous ne disons pas à quelqu'un qu'il ne sera pas recruté parce qu'il est un homosexuel. [...] Mais, on n'est pas prêts à dépénaliser l'homosexualité. Je l'ai déjà dit en conseil des ministres et c'est l'option du Sénégal", a ajouté le président sénégalais, soulignant que son pays "[respecte] les droits des homosexuels".

"Nous ne sommes pas pour l'instant disposés à lever cette disposition de la loi" considérant l'homosexualité comme un délit au Sénégal, a-t-il poursuivi.

Cela "ne veut pas dire que nous sommes homophobes. Il faut que la société [se saisisse de] cette question et prenne le temps de la traiter sans pression", a affirmé M. Sall.

"Soyez rassurés. Le Sénégal est vraiment un pays de liberté, où les homosexuels ne sont pas pourchassés. Mais pour le moment, il faut qu'eux aussi respectent le choix des autres" de ne pas être homosexuels, a insisté le chef de l'Etat sénégalais.

"Ce sont des questions qu'il faut laisser à la société. Elle les règlera en fonction de l'évolution des mentalités et de ce que les gens considéreront comme acceptables ou pas acceptables", a-t-il soutenu.

Intervenant en premier sur ce sujet, Barack Obama a dit que "l'homosexualité et le lesbianisme sont des questions controversées dans beaucoup de régions en Afrique".

"Chaque pays a ses coutumes, ses traditions et ses convictions religieuses" qu'il peut faire valoir en ce qui concerne l'homosexualité, a-t-il ajouté.

"Tout le monde doit être traité avec égalité" quels que soient "son sexe, son orientation sexuelle, sa race..." a cependant poursuivi M. Obama.

"Toutes les religions du monde sont basées sur ce principe : l'égalité entre les gens", a-t-il ajouté.
ESF/BK

Obama meets at Goree Institute Aissatou Padane of Yal





Honor the Senegalese youth. The U.S. President in his visit to Senegal met Thursday afternoon at Goree Aissatou Padane Institue of Young African Leader (Yal) Senegal. On Tuesday, nearly two youth organizations organized under the initiative of Yal Senegal national consultation Warc to make proposals and recommendations to the U.S. president for the future of Africa.

Obama rencontre à Gorée Institute Aissatou Padane du Yal





Honneur à la jeunesse sénégalaise. Le président américain dans le cadre de sa visite au Sénégal rencontra ce jeudi après-midi à Gorée Institue Aissatou Padane du Young African Leader (Yal) Senegal. Mardi dernier, près de vingt organisations de jeunesses ont organisé sous l'initiative du Yal Sénégal une consultation nationale au Warc pour faire des propositions et recommandations au président américain pour le devenir de l'Afrique.

THE TWEETS OF PRESIDENT OBAMA WAY TO DAKAR A visit if ... gay



 En route to Dakar aboard his plane "Air Force One", the President of the USA Barack Obama through his Tweeter account, sent messages of congratulations to homosexual couples following the decision of the Supreme Court of the USA invalidate the law against gay marriage in California, allowing the cutter to marry. Tweets that suggest that President Obama visit to Africa will not fail to address the issue of gay rights, especially in Senegal, where this question is taboo.


Last Wednesday, the ambassador of the USA in Senegal and Guinea Bissau, Lewis Lukens, facing the Senegalese press had camped the major axes of the visit of the U.S. President in Senegal: strengthening democratic institutions, promoting economic growth, trade and investment, promoting the development that creates opportunities and the promotion of peace and security. Asked whether the U.S. president, who had invited him at his inauguration for his second term, a gay Hispanic origin to read a poem, address the issue of gay rights in Senegal. Ambassador of the USA in diplomatic language was answered: "The rights and freedoms must be defended everywhere in the world." Worldwide. Even in Senegal? A country where this question each time it is raised, always raises an outcry in the Senegalese opinion. On the road to Dakar, the U.S. president, we followed through his Tweeter account, flooded his social networking accounts (twteer and facebook) of messages encouraging same-sex couples. At around 17 am local time, the president of the first world power balance this tweet: "The same-sex couples should be able to marry," President Obama. A tweet that says a lot about the feeling that animates this issue of homosexuality, a few hours of landing in Dakar. A few minutes earlier, he sent a message of congratulations to a homosexual couple. Kris Perry and Sandy Stier, two complainants couples who attacked the "Proposition 8" (a law that dates back to 1996, prohibiting marriage between persons of the same sex that gives the acronym in English (DOMA) in front of the U.S. Supreme Court last Wednesday a law forbidding the marriage of same-sex in the state of California. This gay couple was successful before the Supreme Court. He will soon marry legally in the state of California. When the couple and some human rights celebrated on MSNBC this was an historic victory, they were interrupted by President Obama, who called to congratulate from Air Force One: "We are proud of you guys, and we're very happy, "said the president of the speaker. Around the mobile phone Human Rights Campaign, which you can see on MSNBC, President Chad Griffin and two other plaintiffs, Jeff Zarrillo and Paul Katami, who also challenged Proposition 8. U.S. President acknowledged the courage of the couple and told them they gave "a hand for a lot of people."
Promotion of homosexuality? It is in this atmosphere of pride for the recognition of gay rights in the State of California, the U.S. president has landed in Dakar. Crosses he not, by openly discussing this issue with the Senegalese President Macky Sall, who recently said that while he is president, homosexuality is not legalized in Senegal? A question that so far remains unanswered. However, we would not be surprised that the American president puts on the table the issue in Dakar or during these two steps (Tanzania and South Africa). This especially as already last Tuesday, the Washington Post, took up an article published by the Office of the very serious American press agency (Associated Press) Abidjan, entitled "Obama walks tightrope in Africa by supporting gay rights, but not too strong. " An article that looks back at a reception hosted by the U.S. Embassy in Abidjan for a dozen Ivorian gays openly. According to the AP, despite "the novelty of the event, journalists were prevented from attending, and the only mention of it was a short blurb on the Embassy website posted the following week ". Management of the event is, according to AP, the careful promotion of U.S. government gay rights in Africa. A question which, she says, is likely to happen during a visit this week to three African nations, President Barack Obama (South Africa, Senegal and Tanzania) the last two penalize homosexuality a sentence prison. At the reception, Ambassador Philip Carter thanked the guests for their courage in the face of persecution and promised that the United States would continue to defend their interests, according to three guests to the event as well as Ivorians two American diplomats cited by agency AP. During the event they continue, the meeting focused on how Obama could promote gay rights during his second visit to the continent since taking office. "I asked the ambassador if Obama would discuss the matter when he goes to Senegal," said Claver Toure, executive director of the gay and lesbian group "Alternative Côte d'Ivoire" who attended the private reception. He added: "It will be very important for us to speak with African leaders, and also in his speeches. It will give us the strength for us to know that we are not alone. " By signing a memorandum in December 2011 instructing federal agencies to promote gay rights abroad, said Ap, Obama himself has publicly inserted into the bitter debate in Africa whether homosexuals have legitimate rights. Since then, U.S. diplomats have vigorously lobbied for gay rights behind closed doors, especially in countries that criminalize homosexuality, experts and advocates say. "Given that African societies tend to be very conservative, it is a difficult question," told the U.S. ambassador in Ivory Coast The Associated Press. "The question for us is how we recommend effectively and advance the human rights agenda for the LGBT community, or any community that is in a difficult situation? "said Ambassador Carter.
HAROUNA FALL

LES TWEETS DU PRESIDENT OBAMA EN ROUTE VERS DAKAR Une visite si… gay




 En route vers Dakar, à bord de son avion « Air Force One », le président des Usa Barack Obama à travers son compte Tweeter, a envoyé des messages de félicitation à un couple d’homosexuels suite à  la décision de la Cour Suprême des Usa d’invalider la Loi contre le mariage gay en Californie, permettant ainsi à ce coupe de se marier. Des tweets qui portent à croire que le président Obama en visite en Afrique ne manquera pas d’aborder cette question des droits des homosexuels, surtout au Sénégal où cette question est taboue.

Mercredi dernier, l’ambassadeur des Usa au Sénégal et en Guinée Bissau, Lewis Lukens, face à la presse sénégalaise avait campé les grands axes de la visite du président américain au Sénégal : le renforcement des institutions démocratiques, la stimulation de la croissance économique, du commerce et de l’investissement, la promotion du développement qui créé des opportunités et la promotion de la paix et de la sécurité. A la question de savoir si le président américain, qui avait invité lors de son investiture pour  son second mandat, un homosexuel d’origine hispanique à lire un poème, abordera la question des droits des homosexuels au Sénégal. L’ambassadeur des Usa dans un langage diplomatique avait répondu ceci : « Les droits de l’Homme et les libertés doivent être défendus partout dans le monde ». Partout dans le monde. Même au Sénégal ? Un pays où cette question à chaque fois qu’elle est soulevée, suscite toujours une levée de boucliers dans l’opinion sénégalaise.  Sur la route de Dakar, le président américain, que l’on a suivi via son compte Tweeter, a inondé ses comptes de réseaux sociaux (twteer et facebook) de messages encourageant les couples de même sexe. Aux environs de 17 heures locales, le président de la première puissance du monde balance ce tweet : «Les couples de même sexe devraient pouvoir se marier » -Le président Obama. Un tweet qui en dit long sur le sentiment qui l’anime sur cette question de l’homosexualité, à quelques heures de son atterrissage à Dakar. Quelques minutes auparavant, il a lancé un message de félicitations à un couple homosexuel. Kris Perry et Sandy Stier, deux des couples plaignants qui ont attaqué la « Proposition 8 » (une loi qui date de 1996, interdisant le mariage entre personne de même sexe dont le sigle en anglais donne (DOMA) devant la Cour Suprême américaine mercredi dernier, une loi qui interdisait le mariage de personne de même sexe dans l’Etat de Californie. Ce couple d’homosexuels a eu gain de cause devant la Cour suprême. Il va bientôt se marier légalement dans l'État de Californie. Au moment où le couple et certains défenseurs des droits de l’Homme célébraient sur MSNBC cette victoire qualifiée d’historique, ils ont été interrompus par  le président Obama, qui les a appelés pour les féliciter à partir d’Air Force One : «Nous sommes fiers de vous les gars, et nous sommes très heureux», a déclaré le président sur haut-parleur. Autour du téléphone portable de Human Rights Campaign, que l’on peut voir sur le site MSNBC, le président Tchad Griffin, et deux autres plaignants, Jeff Zarrillo et Paul Katami, qui contestaient aussi la Proposition 8. Le président américain a reconnu le courage des couples et leur a dit qu'ils ont donné «un coup de main pour tout un tas de gens ».
C’est dans cette ambiance de fierté pour la reconnaissance des droits des homosexuels dans l’Etat de la Californie, que le président américain a débarqué à Dakar. Franchira-t-il le pas, en abordant ouvertement cette question devant le président sénégalais Macky Sall, qui a déclaré récemment que tant qu’il sera président, l’homosexualité ne sera pas légalisée au Sénégal ? Une question qui pour l’instant reste sans réponse. Toutefois, on ne serait pas surpris que le président américain met sur le tapis cette question à  Dakar ou durant ces deux autres étapes (Afrique du Sud et Tanzanie). Cela d’autant plus que déjà mardi dernier, le Washington Post, reprenait un article publié par le bureau de la très sérieuse agence de presse américaine (Associated Press) d’Abidjan, intitulé : « Obama marche sur la corde raide en Afrique en soutenant les droits des homosexuels, mais pas trop fort ». Un article qui revient sur une réception organisée par l'ambassade américaine à Abidjan à l’intention d’une douzaine de gays ivoiriens de manière ouverte. Selon l’agence AP, malgré « le caractère novateur de l'événement, les journalistes ont été empêchés d'assister, et la seule mention de celui-ci était un court texte de présentation sur le site de l'Ambassade posté la semaine suivante ». La gestion de l'événement fait, d’après AP, la promotion prudente de l'administration américaine des droits des homosexuels en Afrique. Une question qui, dit-elle, est susceptible d'arriver lors de la visite cette semaine à trois nations africaines du président Barack Obama  (Afrique du Sud, le Sénégal et la Tanzanie) dont les deux derniers sanctionnent l'homosexualité d’une peine de prison. A la réception, l'ambassadeur Philip Carter a remercié les invités pour leur courage face à la persécution et a promis que les Etats-Unis continueraient à défendre leurs intérêts, selon trois Ivoiriens invités à l'événement ainsi que deux diplomates américains cités par l’agence AP. Pendant l'événement poursuivent-ils, l'entretien a porté sur la façon dont Obama pourrait promouvoir les droits des homosexuels lors de sa deuxième visite sur le continent depuis sa prise de fonction. «J'ai demandé à l'ambassadeur si Obama discuterait de la question quand il va au Sénégal», a déclaré Claver Touré, le directeur exécutif du groupe gay et lesbien « Alternative Côte d'Ivoire » qui a assisté à la réception privée. Avant d’ajouter : « Il sera très important pour lui de parler de nous avec les dirigeants africains, et aussi dans ses discours. Il nous donnera la force pour nous de savoir que nous ne sommes pas seuls ». En signant un mémorandum Décembre 2011 instruisant les agences fédérales pour promouvoir les droits des personnes homosexuelles à l'étranger, rappelle Ap, Obama lui-même a inséré publiquement dans le débat amer de l'Afrique à savoir si les homosexuels ont des droits légitimes. Depuis lors, les diplomates américains ont vigoureusement fait pression pour les droits des homosexuels derrière des portes closes, en particulier dans les pays qui criminalisent l'homosexualité, disent les experts et les défenseurs. «Étant donné que les sociétés africaines ont tendance à être très conservateurs, c'est une question difficile" a confié l'ambassadeur américain en Côte-d'Ivoire à l'Associated Press. « La question pour nous est de savoir comment nous préconisons efficacement et de faire progresser l'agenda des droits humains pour la communauté LGBT, ou toute autre communauté qui est dans une situation difficile? » a indiqué l’ambassadeur Carter.

HAROUNA FALL

mercredi 26 juin 2013

EXCLUSIVE: OPEN LETTER BARA GAYE TO BARACK OBAMA SINCE THE Prison








 
 
 



"With 3dollars, African youth will work miracles and exploits"

MR CHAIRMAN,
 
It was expected that you meet some representatives of young African leaders during your stay in our continent. But my chances to participate in the conclave, as Secretary General of the National Youth Council of Senegal, during your stay in Dakar, have soared since my imprisonment, May 27, 2013 Rebeuss prison. I am in prison for the alleged crime of insulting the Head of State. This offense punishable under section 80 of the Senegalese penal code is a legacy of colonial France. Given its obsolete and starkly in a modern democracy, the French Republic was repealed. Better, Senegal, in 2008, had signed commitments to the Council of Human Rights of the United Nations on the occasion of the Universal Periodic Review for the repeal of Article 80.
 
Despite this, I am now imprisoned arbitrarily that in which the Senegalese people wore an inordinate hope in electing him with 65% of votes. Unfortunately, President Macky Sall is betraying the hope that people who glorious past, suffers deeply. Pathologies are numerous:
 

. The nagging issue of electricity, yet solved by the liberal regime, following a plan called "Takkal" today is the major problem of our citizens. In the suburbs of Dakar and within the country, the electricity rationing is every other day. .
 
. Households become poorer.

 
. The dignitaries of the former regime are now treated as own evil, demonized in public opinion, hounded by the police, gendarmerie, customs, expert evaluators, the ordinary courts and exception.

PRESIDENT OBAMA,
The most shared today in Senegal assertions are "Rewmi Doxul (the country does not work)", "Xaliss Amul (money does not circulate)" and "Mo Rewmi Macky (the country is wrong)." Given all these considerations, the Head of State serves us as a response that is the dirty money that flows more while forgetting that he made his fortune in the old regime in which he held the following positions: CEO, Minister, Minister of State, Prime Minister and President of the National Assembly.
 
PRESIDENT OBAMA,
 
You arrive in a country where society is broken down because a company is a company that does not dream of a country's water shortage and electricity, immersed in renewed violence and crime, a disastrous crop.
Dear Obama,
 
You stay in a country that is experiencing a decline in imports of 35% and 75% of the youth (18-35years) are unemployed. This is the great national depression, only 15 months after 2nd democratic change.
 
PRESIDENT OBAMA,
 
You come from, anyway, in a country which is a showcase of democratic Africa. However, I invite you to enter the antechamber of the window.
The first President of Senegal, Leopold Sedar Senghor taught us Nuance, his successor Abdou Diouf has taught us the elegance Republic. President Abdoulaye Wade has taught us Audacity. It is he who has the Senegalese uninhibited through the achievements of high bills and international leadership said. As for President Macky Sall, the people still waiting it poses strong and revolutionary acts to make history. Breaking vaunted is currently found.
PRESIDENT OBAMA,African youth loses his bearings increasingly considering the behavior of our leaders, who, seeking to behave like Democrats, but once in power tend to forget the sovereign people tend to confusion between the family and Republic on the one hand and supporters of the Republic on the other. In Senegal, Macky Sall, then presidential candidate, promised 500,000 jobs to the youth of my country to be 100,000 jobs / year. Almost two years in power, we're only 1200 jobs promised in the Public Service if not zero employment. Admission of impotence!
 
Is not that tell you during your stay in Accra that "Africa does not need strong men but strong institutions"?
 
In your capacity as leader of the G8 and G20, you know that the adverse effects of the financial and economic crisis are felt unprecedented in Africa south of the Sahara and elsewhere. Evidenced by illegal immigration, which has recorded tens of thousands of deaths of young African brain drain to horizons, yet often uncertain, the upsurge of crime in Africa, riots and other tribal wars child soldiers, narco terrorism, epidemics and pandemics etc..
PRESIDENT OBAMA,Several of your African counterparts that you visit, for purely political considerations, make their people believe that you are the Messiah to boost their development. Yet Africa, the cradle of humanity, is undoubtedly the future of the planet to its inexhaustible reserves of human and natural resources.In the master policy Macky Sall Abdoulaye Wade said: "When my youth is better than billion abroad." Precisely because the youth was in the beachhead of the popular movement that was released from prison during the reign of the Socialist Party and then brought him to power in 2000. This valiant intellectual, Pan-Africanist, the builder of modern Senegal, whose works remain forever engraved in golden letters in the collective memory for posterity, has correctly viewed the African youth as the fertile soil of expectations arisen Union African he has always dreamed of. In the current context of globalization and globalization, we believe that Africa needs to do introspection to not miss the "appointment" of given and received. Accordingly, it is your duty, President Obama, to help current and future youth of Africa to dispose of this superiority complex vis-à-vis the West. You, developed countries help us take care of ourselves, to give hope to the African youth to use our own resources to get the maximum benefit. Help put an end to wars and conflicts that are an obstacle to development. You, developed countries help us to stop the brain drain and ensure technology transfer.
 
To conclude, Mr. President, I would make a few suggestions:
 
1-Think about holding an international conference under the auspices of the United Nations on youth employment in Africa
 

2-examine the idea of ​​a United Nations youth employment and funding youth projects Heavily Indebted Poor Countries (Pppte)
 

3-Mobilize three (3) dollars on each plane ticket to Africa to finance the employment, training etc..
 

4-Collect and raise three (3) dollars on every bank transaction related to Africa to fight against infant mortality, the development of information technology and communication, and reintegration of child soldiers in African society.
 
With three (3) dollars, African youth will work miracles and exploits. The revolution in the financing methods that I have to offer is the fact that for once, this is not a bilateral but multilateral least some kind of contribution of Northerners to the South.
That, Mr. Speaker, the message of African youth that I could deliver you from my prison cell Rebeuss.
Hoping that the impact of your travel will be higher than those obtained from your predecessor George W. Bush has managed to make the concrete in trade between Africa and the United States of America.
 
VIVE LE SENEGALLIVE AFRICA!
 
BARA GAYE, national general secretary of the Labour Union of Liberal Youth (UJTL), Secretary General of the National Youth Council of Senegal, former Minister Counsellor of President Abdoulaye Wade